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22 December 2018

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Mahmoud Ahmadinejad محمود احمدی نژاد Mahmoud Ahmadinejad en 2013. Fonctions — 8 ans Élection Réélection Prédécesseur Successeur — 11 mois et 4 jours Prédécesseur Successeur — 17 jours Prédécesseur Successeur Mohammad Aliabadi — 10 jours Prédécesseur Successeur Heydar Moslehi — 2 ans, 1 mois et 14 jours Prédécesseur Mohammad-Hassan Malekmadani Successeur — 3 ans, 11 mois et 1 jour Biographie Nom de naissance Mahmoud Sabarian Date de naissance 61 ans Lieu de naissance Nationalité Conjoint Azam Farahi Diplômé de Université de sciences et de technologie de Téhéran Profession Religion Mahmoud Ahmadinejad en : محمود احمدی نژاد , né le à 90 km de , est un , président de la République de à. Il est maire de de à et de à. Il est officiellement réélu le pour un second mandat, à l'issue d'un scrutin à la. Sa présidence est essentiellement marquée par la dégradation de la situation économique intérieure et par la poursuite du. Il est membre de la , mais possède une base plus puissante dans l'Alliance des bâtisseurs de l'Iran islamique Abadgaran , et est considéré comme un des personnages les plus importants de l'alliance des conservateurs. Famille Issu d'une famille modeste, Mahmoud Ahmadinejad est le quatrième enfant d'une fratrie de sept. Son père était forgeron lorsque la famille déménage à Téhéran, après avoir exercé les métiers d'épicier et de coiffeur ,. Le déménagement de la famille à Téhéran coïncide avec le changement de leur nom de famille, probablement afin d'éviter de porter un nom rural, car ce nom indique une humble origine sociale. Leur nom de famille était à l'origine Saborjhian selon Hussein D. Hassan ou Sabarian selon Vincent Hugueux. Sabor est le nom persan du peintre sur fil, une occupation commune autrefois au sein de l'industrie textile du tapis dans la région de. Le déménagement de la famille, désormais connue sous le nom d'Ahmadinejad , coïncide avec une période d'exode rural important en Iran. La famille Ahmadinejad s'installe, comme des millions de personnes, dans un des quartiers pauvres de. Abbas Milani rapporte que les parents du jeune Ahmadinejad participaient régulièrement aux événements organisés par les organisations religieuses de quartier, et leur fils mettait un zèle tout particulier à l'apprentissage du et à l'accomplissement des devoirs religieux. Il est marié à Azam Farahi depuis 1981 ; ils ont ensemble deux fils et une fille. Éducation À cette époque, le « » a connu un renouveau dans les milieux populaires sous l'impulsion des « Hojjatieh ». « Cette secte, écrit , fondée en 1953, fut condamnée pour hérésie par le clergé chiite. En rupture avec l'interprétation majoritaire, les Hojjatieh considèrent en effet que les croyants, loin d'apprendre passivement, doivent au contraire hâter le retour du le dernier ou Imam en précipitant le monde dans l'apocalypse. Michel Taubmann ajoute que l'on retrouve des membres des Hojjatieh dans l'entourage d'Ahmadinejad après son accession à la présidence et que lui-même reprend leurs thèses. Ahmadinejad raconte que c'est à sept ans, en 1963, qu'il tombe sous le charme de l'. « L'ayatollah Rouhollah Khomeini, un dignitaire religieux parmi d'autres dans la ville sainte de , est sorti de l'anonymat en s'opposant à la loi électorale votée par le Parlement à l'instigation du et qui accorde le droit de vote aux femmes. Il suit sa scolarité primaire et secondaire à Téhéran, et il est admis à l'université de science et de technologie Elm-o Sanaat en 1976. Des incertitudes subsistent sur son entrée à l'université, détaillées plus loin. « L'étudiant Ahmadinejad, poursuit Michel Taubmann, ne se reconnaît ni dans les groupes gauchistes ni dans les. La lutte des classes, même à la sauce islamiste, n'est pas sa tasse de thé. Premiers engagements politiques pendant la révolution iranienne Article détaillé :. En 1978, « Ahmadinejad participe à la fondation d'une association islamique des étudiants d'Elm-o Sanat. Peu après, celle-ci se coalise avec d'autres associations comme celles des Universités Téhéran, Polytechnique ou Aryamehr, rebaptisée Sharif après la. Ensemble, elles fondent l'Organisation des associations islamiques... Ahmadinejad fait partie du Conseil central de cinq membres qui dirigent l'OSU. » Hassan Daioleslam se souvient : « Dans les universités, les partisans de Khomeini, dont Ahmadinejad faisait partie, compensaient leur impopularité croissante par le recours à la violence. Ils faisaient la chasse aux femmes qui ne portaient pas de tchador, ils leur interdisaient l'accès aux cours. » Ahmadinejad représente alors le pouvoir clérical dans l'université, avec Mojtaba Hachemi-Samareh, lequel accompagnera Ahmadinejad durant toute sa carrière, en tant que conseiller ou chargé de missions spéciales. Au début de l'année 1979, « les partisans de Khomeyni s'organisent pour traquer les opposants et vont créer leur propre organisation politico-militaire : le CGRI. Ils sont aussi une police idéologique au service de l'. Ils s'organisent dans les usines et partout dans les universités. Selon Mohsen Sazegara un des fondateurs du Corps des Gardiens de la révolution islamique , le futur président iranien était membre des Pasdarans en 1980 mais ne jouait alors aucun rôle notable. » Après 1979, il s'engage résolument dans l'aile la plus conservatrice du Bureau pour la préservation de l'Unité, une organisation fondée par l' pour assurer la liaison entre les universités et les séminaires théologiques. Son rôle actif dans ces organisations étudiantes lui vaudra de participer à la planification de la. Alireza Haghighi et Victoria Tahmasebi rapportent en effet que lors de la préparation de l'opération, deux délégués de chaque université se sont rencontrés pour planifier l'opération, et Mahmoud Ahmadinejad était un des deux délégués de l'université de science et de technologie. Selon Abbas Milani, il aurait cherché à obtenir une de l'ayatollah pour justifier l'opération, mais les organisateurs voulant laisser Khomeyni en dehors de l'affaire pour ne pas le compromettre, Ahmadinejad fut écarté de l'opération. Quelques semaines plus tard, quand il devint clair que Khomeini se servait de cette prise d'otages pour consolider son pouvoir, Ahmadinejad essaiera d'intégrer de nouveau le comité des étudiants à l'ambassade, mais il ne sera pas le bienvenu. Une controverse s'est fait jour après son élection sur son rôle dans l'affaire des otages. Guerre Iran-Irak 1980-1988 Article détaillé :. Durant les huit années qu'a duré la guerre Iran-Irak, Mahmoud Ahmadinejad prend part à la guerre, bien que son rôle exact pendant celle-ci reste mystérieux. Un an avant la fin de la guerre, Ahmadinejad obtient à 31 ans un doctorat en ingénierie des transports publics de l'université d'Elm-o Sanat en 1987. Khomeyni avait fondé les aussi appelés Pasdaran , milice idéologique du nouveau régime, ainsi que les , un mouvement de masse dont les jeunes membres avaient été préparés à mourir en martyrs pour le nouveau régime. Ahmadinejad aurait été instructeur au sein de l'organisation des Basij selon Hussein Hassan ou. Selon la biographie officielle du président, il aurait servi pour les Basij au front et dans différentes unités du génie au cours de la. En 1986, Ahmadinejad se porte volontaire pour faire partie des forces spéciales des gardiens de la révolution. Il a alors un poste d'officier à la garnison de Ramazan, stationnée à proximité de. Cette garnison était chargée des « opérations extra-territoriales » des Gardiens de la révolution, et plusieurs rapports suggèrent qu'Ahmadinejad était alors chargé de l'élimination de dissidents en Iran et à l'étranger, participant à des opérations secrètes dans la région de Irak , et à des tortures ou des exécutions à la à Téhéran. Ahmadinejad devient ensuite un des officiers supérieurs de l'unité d'élite Qods au sein des Pasdaran. Selon certains rapports, il a dirigé plusieurs assassinats politiques au Moyen-Orient et en Europe, dont celui du chef kurde Abdurrahman Qassemlou à en juillet 1989. À la fin de la guerre, les gardes de la révolution et les Basij qui sont démobilisés sont choqués par la corruption de certains dirigeants, qui se sont enrichis en prenant possession de biens confisqués pendant la révolution ou en jouant un rôle dans le marché noir en temps de guerre. Les plus dévôts des Basij, dont fait partie Ahmadinejad, planifient alors un retour aux valeurs des premiers jours de la révolution. Ahmadinejad ne cache pas son attachement aux valeurs de Basij : il apparait régulièrement vêtu du foulard noir et blanc caractéristique des Basij, et parle souvent en termes positifs de la « culture Basij » et du « pouvoir Basij ». Incertitudes et controverses sur la carrière d'Ahmadinejad Plusieurs incertitudes subsistent sur la biographie officielle et le parcours de Mahmoud Ahmadinejad. Son entrée à l'université est sujette à interrogations de la part de plusieurs observateurs. Selon Ahmadinejad lui-même, il serait arrivé 132 e au concours national d'entrée à l'université, sur plus de 400 000 étudiants cette année-là. Cependant, Abbas Milani, directeur des études iraniennes à l', estime cette affirmation peu vraisemblable, car l'université qu'il choisit se situe dans le second-tiers des universités iraniennes. Cette affirmation est confirmée par Michel Taubmann qui écrit : « ce résultat lui aurait surtout permis d'accéder à la meilleure université scientifique du pays, en l'occurrence Amir Kabir, l'équivalent de Polytechnique. Or, le jeune Ahmadinejad, après le concours d'entrée, s'est inscrit à la modeste université Elm-o Sanaat, classée en cinquième dans les établissements scientifiques. » En juin-juillet 2005, juste après les élections iraniennes, une controverse se fait jour sur le rôle de Mahmoud Ahmadinejad dans la. Son engagement dans le Bureau pour la préservation de l'Unité et à l'association des étudiants islamiques lui ont permis de participer à la planification de cette prise d'otages. Quelques jours après son élection fin juin 2005, d'anciens otages américains disent reconnaître en Mahmoud Ahmadinejad un des participants à la prise d'otages dans l'ambassade des États-Unis à Téhéran entre 1979 et 1980. Les preuves disponibles, ainsi qu'une enquête de la CIA, ont montré que ces allégations étaient fausses et qu'Ahmadinejad n'avait fait que participer à la planification de l'opération, mais pas à son exécution. La participation de Mahmoud Ahmadinejad à la guerre Iran-Irak est, elle aussi, entourée de mystère. Son rôle exact au sein des Basij et des Gardiens de la révolution est inconnu : il aurait été instructeur et aurait eu un rôle au sein d'unités du génie, mais aucun détail n'est disponible sur ses affectations exactes. Selon plusieurs sources, les informations sur la carrière d'Ahmadinejad pendant la guerre Iran-Irak ne sont pas très fiables. Débuts en politique À la fin des , Mahmoud Ahmadinejad devient gouverneur des villes de et de , dans la province de l', pendant quatre ans. Il est également nommé conseiller du gouverneur général de la pendant deux ans. En 1993, alors qu'il est conseiller au ministère de la Culture et de l'Orientation islamique, il est nommé gouverneur général de la , qui vient d'être créée. Il sera élu trois années de suite meilleur gouverneur d'Iran. Entre 1993 et 1997, alors qu'il est en poste en tant que gouverneur, il s'investit dans l'organisation du , une milice islamique radicale. En 1997, avec l'arrivée au pouvoir de et des réformateurs, il est relevé de ses fonctions et repart enseigner à l'université de science et de technologie. En 2003, Ahmadinejad profite du mouvement de mécontentement envers le mouvement de réforme initié par Khatami, et se fait élire maire de. La participation aux élections du conseil municipal a été très faible 11 % , et les alliances nouées par Ahmadinejad lui permettent de se faire élire maire par un conseil municipal dominé par la Coalition des développeurs d'un Iran islamique Etelāf-e ābādgarān-e Irān-e Eslami , une faction à la ligne politique très conservatrice. Ahmadinejad s'est réclamé de ce parti au cours de plusieurs discours publics. Au cours de la campagne électorale pour la mairie de Téhéran, Mahmoud Ahmadinejad était également membre du comité central de la société des dévôts de la révolution islamique Jamiyat-e Isargaran-e Inqelāb-e Eslami , qui a pourtant soutenu un autre candidat lors de l', ,. Après son élection à la mairie de Téhéran, Ahmadinejad se sert de sa position pour développer un réseau fort de fondamentalistes membres de la Coalition des développeurs d'un Iran islamique. C'est au cours de son passage à la mairie de Téhéran qu'il devient connu comme un homme politique à la ligne dure, qui a pour objectif d'opérer un retour en arrière sur les réformes libérales du président Khatami. Selon Matthias Küntzel, Ahmadinejad se positionne à ce moment-là comme le chef d'une seconde révolution islamique, qui vise à éradiquer la corruption et les influences occidentales de la. Les mesures qu'il prend en tant que maire vont à l'encontre des mesures prises par les maires réformateurs qui l'ont précédé : il remet l'accent sur les activités religieuses, remet en vigueur des codes vestimentaires pour les employés masculins de la mairie et institue la séparation des sexes dans les ascenseurs des immeubles appartenant à la mairie. Pendant la campagne électorale pour la mairie puis celle pour la présidence de l'Iran, Ahmadinejad se présente comme un homme simple, vivant une vie frugale dans son appartement des quartiers populaires de Téhéran. Ascension à la présidence de la République Avec son arrivée à la mairie de Téhéran en 2003, Mahmoud Ahmadinejad commence à se construire une image publique, et une réputation de conservateur sévère afin de se positionner en chef d'une seconde révolution visant à éradiquer la corruption et les valeurs occidentales en Iran. Il cherche assez rapidement à remettre en cause les réformes libérales du président Khatami dans sa municipalité de. Les valeurs qu'il défend sont celles des déshérités Mostazafin. Ces déshérités, qui représentent la portion la plus grande des Basij, soutiennent le régime par une vie simple, par le sacrifice et par leur soutien aux idéaux islamiques de justice et de piété. Ahmadinejad se positionne comme le représentant des déshérités et de tous ceux qui ont perdu leurs illusions à cause du fossé grandissant entre riches et pauvres, de la perte des valeurs islamiques. Ahmadinejad se présente à l' et arrive, de manière inattendue, en deuxième position avec 19,4 % des voix derrière l'ancien président qui obtient 21,1 % des voix. Le candidat conservateur Mohammed Qalibaf, donné second d'après les sondages, se plaint de fraudes massives. Lors du second tour du 24 juin, Ahmadinejad affronte Rafsandjani et l'emporte largement avec 61,69 % des voix contre 35,93 % à Rafsandjani. Ahmadinejad s'appuie sur les Basijis, dont il partage les valeurs, pour mener sa campagne à l'élection présidentielle. Selon un des collaborateurs, l'élection d'Ahmadinejad à la présidence de la république islamique d'Iran n'est pas un accident mais « est le résultat de deux ans de planification compliquée et aux facettes multiples » par une coalition qui inclut des Commandants des gardiens de la révolution, des représentants du clergé, des dirigeants du mouvement Basij et les amis et alliés qu'Ahmadinejad s'est fait pendant son mandat à la mairie de Téhéran. Un observateur américain a noté que la « génération d'Ahmadinejad s'est sacrifiée pendant la guerre Iran-Irak, et qu'elle souhaite maintenant obtenir quelque chose en retour ». L'arrivée au pouvoir d'Ahmadinejad a été facilitée par le soutien apporté par le , l'Ayatollah , l'homme fort du pays, successeur de. Mahmoud Ahmadinejad est un. Pour , la force de frappe iranienne ne tiendrait pas le coup devant les États-Unis et Israël. Il ajoute que des « provocations armées » du gouvernement actuel mené par Ahmadinejad permettraient donc, en cas d'intensification, aux États-Unis et à Israël de trouver des alliés dans la « mollahcratie » pour faire chuter Ahmadinejad. Économie Ahmadinejad a soumis son premier annuel, couvrant la période avril 2006 - mars 2007, au le. Cette proposition demandait des dépenses totales de 1 956 mille milliards de 169 milliards d'euros , représentant une augmentation de 27 % par rapport au budget 2005-2006. La proposition de budget faisait aussi part d'un appel aux banques d'État d'allouer une plus grande partie de leurs ressources à des prêts à la consommation pour les familles à revenus faibles et les petites entreprises dans les régions peu développées. Cette proposition de budget 2006-2007 devrait être un budget opérationnel dans lequel les fonds seraient alloués sur la base des bénéfices attendus d'une opération plutôt que d'une division du budget entre les organisations. En juin 2006, 50 économistes iraniens ont écrit une lettre au président Mahmoud Ahmadinejad, critiquant l'intervention de l'état sur les prix ayant pour but de stabiliser les prix des biens, du ciment et des services gouvernementaux, ainsi que contrer un décret émis par le Haut Conseil du Travail et le Ministère du Travail proposant une augmentation des salaires de 40 %. Ahmadinejad a publiquement répondu de manière assez dure à la lettre et a dénoncé ces accusations. C'est l'une des principales critiques adressée au président iranien, y compris par les conservateurs pragmatiques. Logement La première loi de son gouvernement nouvellement formé fut la création d'un fonds doté de 12 000 milliards de 1. En se servant des revenus pétroliers de l'Iran, le gouvernement d'Ahmadinejad déclare que ce fonds sera utilisé afin d'aider les jeunes gens à trouver un travail et de pouvoir financer leur mariage aussi bien que de s'acheter leurs propres maisons. Le fonds cherche aussi des donations, et dispose d'associations de charité dans chacune des 30. Ce nouveau plan est sujet à l'approbation de la , majoritairement conservatrice, mais a peu de chances de rencontrer une opposition, étant donné que les députés de la Majles ont aussi montré une forte détermination à résoudre les problèmes économiques. Cette législation est une réponse aux prix élevés des logements dans les centres urbains, qui fait reculer l'âge du mariage actuellement autour de 25 ans pour les hommes et 28 ans pour les femmes. En 2006, le parlement iranien a rejeté la formation de ce fonds. Cependant, Ahmadinejad aurait mis sa proposition en pratique en ordonnant au conseil administratif de l'exécuter. Droits des femmes et des homosexuels Le , Ahmadinejad a annoncé qu'une règle qui empêchait les femmes de regarder les hommes faire du sport dans les stades serait bientôt annulée. Une annonce de la télévision nationale a rapporté qu'Ahmadinejad « a ordonné que le directeur de l'organisation des sports devrait mettre en œuvre des installations dans les stades afin de regarder les matches nationaux ». Ahmadinejad a dit que « les meilleures places devraient être réservées aux femmes et aux familles dans les stades dans lesquels d'importants matches nationaux ont lieu. » Deux jours plus tôt, Ahmadinejad s'était opposé à la punition imposée aux femmes apparaissant dans les stades sans revêtir le adéquat. Sa remarque a mis en colère certains supporters. Peu après ces remarques, plusieurs des membres du clergé de plus haut rang et dont l'ayatollah , le grand ayatollah Nouri Hamedani, le grand ayatollah , le grand ayatollah Safi Golpaygani, le grand ayatollah et l'ayatollah Mirza Javad Tabrizi se sont opposés à cette décision, appelant à l'annulation urgente de cet ordre. À , de nombreux membres du clergé ont manifesté contre cette décision du président. Une agence de presse chiite a cité un des conseillers d'Ahmadinejad disant que la déclaration du président à propos de la présence des femmes dans les stades était une mesure politique visant à défendre le régime islamique contre une conspiration menée par les États-Unis. D'après ces rapports, le gouvernement d'Ahmadinejad pense que la présence des femmes dans les stades est contre la et doit donc être bannie, contrairement à ce qu'ils disaient auparavant. De fait, le , a mis son veto à cette décision en déclarant « l'opinion du clergé religieux doit être respectée et la décision présidentielle reconsidérée. » Selon , en mars et en juin 2007, à Téhéran, les forces de sécurité ont dispersé violemment des manifestants qui réclamaient l'abrogation des lois discriminatoires envers les femmes. En août 2007, des militantes des droits des femmes ont lancé une campagne en vue de recueillir un million de signatures pour une pétition réclamant l'égalité des droits pour les femmes. Le 24 septembre 2007, lors d'une conférence à l', le président Ahmadinejad élude une question sur les homosexuels en affirmant : « En Iran, nous n'avons pas d'homosexuels comme dans votre pays ». La IGLHRC a immédiatement condamné ce déni de réalité par sa présidente Paula Ettelbrick : « Il est extrêmement malheureux que le président de l'Iran, qui utilise le forum d'une université prestigieuse pour dire la vérité sur son pays, s'exprime avec un tel manque de franchise sur la situation des droits de l'Homme en Iran. » Selon l'anthropologue nord-américain , le phénomène de l'homosexualité en Iran n'est pas comparable à ce qu'il est en Occident. Sciences De nombreux professeurs ont reçu des lettres leur indiquant leur retraite anticipée. En septembre 2009, les autorités iraniennes déclarent qu'une grande part du contenu de programmes universitaires en n'est pas conforme à la culture islamo-iranienne et qu'ils vont les réviser. Élection présidentielle iranienne de 2009 Article détaillé :. Il est officiellement reconduit au pouvoir, pour quatre ans, mais sa réélection est contestée par une partie de la population ainsi que de nombreux pays occidentaux tels que la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis. Les manifestations qui suivirent son élection furent réprimées. Politique étrangère Relations Iran-États-Unis Article détaillé :. Les ont été rompues à la suite de l'affaire de la prise d'otages de 444 jours de l'ambassade des États-Unis. Le président Ahmadinejad tente de renouer le contact en envoyant une lettre au le 8 mai 2006, mais le gouvernement de choisit de ne pas y répondre officiellement, lui reprochant son caractère uniquement « philosophique » et n'y trouvant rien de nouveau. La de la lettre reprend celle utilisée, d'après la tradition islamique, par le prophète envers les et les sommant de se , faute de quoi ils seraient envahis ,. Le , en réponse au président qui, dans son , a qualifié les forces iraniennes au pouvoir de « petite élite cléricale qui isole et opprime son peuple », le chef d'État répond que « dans un avenir proche, nous allons vous juger devant le tribunal des peuples. Le , il a donné une entrevue télévisée à , un correspondant de. C'était sa première entrevue pour un média américain depuis 6 mois. Le 29 août 2006, il a invité à un débat télévisé ouvert sur ses plans concernant le de l'Iran, mais cette invitation a été promptement déclinée par la Maison Blanche. Relations Iran-Russie Ahmadinejad essaie de renforcer les relations avec la , mettant en place un bureau spécialement destiné à ce but en octobre 2005. Il a travaillé avec sur la question nucléaire, et à la fois l'un et l'autre ont exprimé un désir de voir plus de coopération mutuelle sur les sujets liés à la. Cependant, les officiels du renseignement occidentaux ont récemment accusé Ahmadinejad d'aider financièrement et matériellement en Iran les rebelles en , qui se battent contre la Russie. L'Iran s'est pourtant déjà exprimé sur le fait qu'il considérait le problème tchétchène comme une « affaire interne » à la Russie. Relations Iran-Israël Article détaillé :. Les commentaires d'Ahmadinejad ont été condamnés par la plupart des gouvernements occidentaux, l', la , le et le. Les dirigeants , et ont aussi exprimé leur inconfort face à cette remarque d'Ahmadinejad. Une controverse sur la justesse de la traduction a ensuite vu le jour. Des spécialistes comme de l'Université du Michigan et Arash Norouzi du projet Mossadegh soulignant que la déclaration originale en persan ne signifiait pas qu'Israël devait être rayé de la carte, mais plutôt que le régime s'effondrerait de lui-même ,. En juin 2006, l'éditorialiste du , Jonathan Steele a cité plusieurs et traducteurs qui ont dit que la phrase en question serait plus exactement traduite par « balayé » des « pages du temps » ou « des pages de l'histoire » plutôt que « rayé de la carte ». En désacoord avec Cole, Norouzi et Steele, un éditeur du , Ethan Bronner soutient que « toutes les traductions officielles » des commentaires, dont celle du ministère des Affaires étrangères iranien et du bureau du président « se réfèrent à balayer Israël ». Lors d'une conférence de presse donnée le 14 janvier 2006, Ahmadinejad a déclaré à propos de son discours d'octobre qu'il n'y avait « pas de politique nouvelle, ils ont créé tout un ressentiment autour de cette déclaration. Ahmadinejad a aussi condamné le en disant que « le régime sioniste se comporte comme Hitler ». Le , à la suite de l'hospitalisation du premier ministre , Ahmadinejad se réjouit de l'imminence de la mort de Sharon, qualifié de criminel de. Le , il a donné une entrevue télévisée à , un correspondant de , dans laquelle il a parlé de ce qu'il estime être la culpabilité d'Israël dans les souffrances du Liban, et des justifications morales des attaques aux missiles du. Plus tard dans cette entrevue, Ahmadinejad était prié d'exprimer ses opinions concernant l'État d'Israël et on lui a demandé de s'expliquer à propos de ses déclarations précédentes concernant le droit à exister, la suggestion au fait que l'État israélien devrait être déplacé en Europe, puisque ce sont les européens qui ont pris la responsabilité de l'. Il souligne dans cette déclaration que ceux qui se tiennent aux côtés du régime sioniste s'exposent à la colère du monde. » Ses propos peuvent être présentés comme des réponses à une action occidentale lors de la polémique sur le et l'éventuel arsenal nucléaire iranien en 2006, jusqu'à la publication le d'un rapport du DNI. Lors de la , il soutient le en lutte contre Israël. Positions politiques au sujet de la Shoah Après la publication des en , il dénonce le « mythe du massacre des » et propose de créer un État juif en , aux , au ou encore en , lors d'un discours retransmis en direct par la télévision d'État. Il doute de la , qualifie de « tumeur », et demande à l' et à l' de céder une partie de leur territoire pour établir Israël, impliquant un transfert massif de la population juive israélienne sur un autre territoire que celui de l'État d'Israël en référence à la création de l'État d'Israël qui s'est implanté sur un territoire déjà habité par les Palestiniens. Le , le président iranien s'exprimant à la II se fait remarquer pour ses déclarations virulentes à l'encontre d'Israël. Il ajoute que les dirigeants d' sont « les plus cruels et les racistes les plus répressifs » et condamne des « grandes puissances » pour avoir aidé à la création d'Israël « au prétexte de la souffrance juive » après la. Son discours provoque un tollé, et la plupart des représentants des pays de l' quittent alors la conférence. Le secrétaire général de l', condamne les propos du président Ahmadinejad, déclarant qu'il avait incité à la haine, l'objectif inverse de la conférence. La , la , les et Israël ont également condamné ses propos. Positions au sujet du 11 septembre Le 8 avril 2008, Mahmoud Ahmadinejad déclare à propos des que « Un bâtiment s'est effondré et ils disent que 3 000 personnes ont été tuées mais n'ont jamais publié leurs noms ». En mars 2010, il qualifie les attentats du 11 septembre 2001 de « gros mensonge » ayant servi de prétexte à l'invasion de l'Afghanistan. Lors de son discours devant l'ONU du 23 septembre 2010, Mahmoud Ahmadinejad a mentionné des. Crise du nucléaire iranien Articles détaillés : et. Ahmadinejad refuse toute ingérence étrangère dans le développement du programme iranien. Il dénonce l'armement de l'Irak en armes chimiques fournies par les États-Unis et des pays , durant la. Le président Mahmoud Ahmadinejad, a rejeté catégoriquement, dans ce discours, prononcé le 8 juin 2006 dans la ville de dans le nord-ouest du pays, et diffusé par la télévision publique, les propositions des 5 membres permanents du présentées le 6 juin 2006 visant à l'abandon par l'Iran de son programme d'enrichissement d'uranium en échange d'un accord de coopération économique et technologique. Élection présidentielle de 2017 En 2016, , le guide suprême ordonne à Ahmadinejad de ne pas se porter candidat à l'. Ahmadinejad annonce en octobre 2016 qu'il ne sera pas candidat mais début 2017, il s'inscrit toutefois comme tel. Cependant, Mahmoud Ahmadinejad dit qu'il s'inscrit uniquement pour soutenir , un autre candidat conservateur , ,. En avril, le rejette sa candidature. Cité par , p. Traduit en français par Ramin Parham. Cité par , p. », que l'on pourrait traduire par « Espérons-le, l'information disant que le criminel de Sabra et Chatila a rejoint ses ancêtres est définitive. », International Herald Tribune, 6 janvier 2006.
Une décision de la Cour Suprême des au cours du jugement mena au premier amendement à la constitution américaine ainsi qu'au 14 e amendement de cette même sol, lorsque on se connait rencontres constitution fédérale a redéterminé le droit de chaque État de choisir ses propres lois. TLD: com Code postal: US La description :accueil les annonces product 1 sub product sub product product 2 sub product sub product -- rencontres sérieuses homme cherche femme femme cherche homme lesbiennes gay autres custodes rencontres sans. Ahmadinejad a publiquement répondu de manière assez dure à la lettre et a dénoncé ces accusations. » Deux jours plus tôt, Ahmadinejad s'était opposé à la punition imposée aux femmes apparaissant dans les stades sans revêtir le adéquat. Leen réponse au président qui, dans sona qualifié les caballeros iraniennes au pouvoir de « petite élite cléricale qui isole et opprime son peuple », le chef d'État répond que « dans un avenir proche, nous allons vous juger devant le tribunal des peuples. Plus tard dans cette entrevue, Ahmadinejad était prié d'exprimer ses opinions concernant l'État d'Israël et on lui a demandé de s'expliquer à propos de ses déclarations précédentes concernant le sol à exister, la suggestion au fait que l'État israélien devrait être déplacé en Europe, puisque ce sont les européens qui ont pris la responsabilité de l'. Je te conseille plutôt d'aller sur le site de rencontre evalentin, tu y trouveras un tas de célibataires sympas. En 1993, alors qu'il est conseiller au ministère de la Prime et de l'Orientation islamique, il est nommé gouverneur général de laqui vient d'être créée. Lors du second tour du 24 juin, Ahmadinejad affronte Rafsandjani et on se connait rencontres largement avec 61,69 % des voix contre 35,93 % à Rafsandjani. Ahmadinejad annonce en octobre 2016 qu'il ne elements pas candidat mais début 2017, il s'inscrit toutefois comme tel. Venez tchater avec des metalleux, gothiques, emos, visual, skater, punk, skin, cyber, grunge, kawaii et Video embedded · Les strings: même la France s'y met.

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