Classement rencontre ligue 1

14 January 2019

Views: 152

Ligue 1-J03 : Pas de changement de l'horaire de la rencontre CA Bizertin - US Ben Guerdene

❤️ Click here: http://deasiresho.fastdownloadcloud.ru/dt?s=YToyOntzOjc6InJlZmVyZXIiO3M6MjA6Imh0dHA6Ly9wYXN0ZWxpbmtfZHQvIjtzOjM6ImtleSI7czoyODoiQ2xhc3NlbWVudCByZW5jb250cmUgbGlndWUgMSI7fQ==

L'équipe fanion du RCF est alors rebaptisée et pose sa candidature au statut professionnel sous ce nom. A l'inverse, Angers, Bordeaux et surtout Guingamp, qui n'a toujours pas inscrit de point, ont pris les plus mauvais départs et figurent en queue de classement.

Demi-finales du Top modifier modifier le code Le vendredi, la Ligue nationale de rugby a désigné le Parc Olympique lyonnais pour accueillir des demi-finales du Top. Paris et Marseille participent à trois autres finales dans la décennie : revers contre l' puis pour l'OM, défaite contre le pour le PSG. Les jeunes Rémois concrétisent leur progression par un premier titre la saison suivante, à la barbe des Lillois toujours, dépassés en toute fin de saison.

Ligue 1-J03 : Pas de changement de l'horaire de la rencontre CA Bizertin - US Ben Guerdene - Elle met alors en place un championnat national à vingt clubs. Le détient le record de longévité en Ligue 1 avec 45 saisons consécutives.

Généralités Sport Création Autre s nom s Division Nationale 1932-1972 Division 1 1972-2002 Organisateur s 1932-1939 Depuis 1945 Éditions 80 Périodicité Annuelle Lieu x Participants 20 clubs Statut des participants Site web officiel Hiérarchie Hiérarchie 1 er niveau Niveau inférieur Palmarès Tenant du titre Plus titré s 10 titres Meilleur s buteur s 299 buts Plus d'apparitions 618 matchs Le Championnat de France de football, actuellement appelé Ligue 1 pour des raisons de sponsoring ou plus simplement Ligue 1, est une compétition de qui est le en. Il se déroule annuellement sous forme d'un opposant vingt clubs professionnels. Une saison du championnat commence en et se termine au suivant. La de l'édition inaugurale se tient le. Nommé « Division Nationale » lors des premières éditions, le championnat prend ensuite le nom de « Division 1 » D1 en 1972, avant de prendre son nom actuel à l'été 2002. L' est le club le plus couronné avec dix titres de champion de France alors que l' est le club qui a remporté le plus de titres consécutifs sept entre et. Le Paris Saint-Germain est tenant du titre après son succès lors de la saison 2017-2018. Avec 69 saisons de présence en Ligue 1, l' détient le record du nombre de saisons parmi l'élite. Le détient le record de longévité en Ligue 1 avec 45 saisons consécutives. Le Paris Saint-Germain est également le doyen actuel de la Ligue 1, présent donc depuis la saison. Cette compétition est actuellement diffusée par et Articles connexes : et. Le football français résiste au jusqu'en. Il est autorisé dans le en mais n'est pas adopté en Europe continentale, où une vision idéalisée du sport est un frein à son autorisation. Les disciplines sportives majeures, et le football au premier chef, en raison des recettes qu'il générait déjà, furent alors touchées par l'« », autrement dit la rémunération illégale de sportifs prétendument amateurs. Le gardien de but de football international français refuse ainsi un « pont d'or » du club anglais , en ; il admet dans ses mémoires que les joueurs du étaient grassement rémunérés malgré leur statut officiel d'amateur. Les emplois de complaisance étaient alors une pratique courante pour couvrir ces salaires. Le terme « racolage » est alors en usage pour décrire les offres financières faites aux joueurs pour les transférer. Des clubs plus modestes tout comme les locomotives parisiennes, lilloises ou marseillaises sont touchés par le phénomène. Le nombre d'affaires de ce type dans le football français mène finalement à l'autorisation du professionnalisme en , pour mettre un terme à ces scandales touchant les meilleurs clubs, dirigeants et joueurs. En juillet, le Conseil national de la FFF se prononce par 128 voix contre 20 Paris, Alsace et Auvergne et une abstention le président pour la mise en place du professionnalisme en France , avec mise en application le. Les pères fondateurs du professionnalisme français sont , et. La Fédération décide de limiter le statut professionnel à une élite restreinte. Elle met alors en place un championnat national à vingt clubs. Eux seuls peuvent évoluer sous statut professionnel en 1932-1933. La FFF édicte trois règles pour limiter le nombre des candidatures au statut professionnel : avoir eu des résultats probants par le passé, avoir des recettes guichets suffisamment importantes pour équilibrer les finances et recruter au moins huit joueurs sous statut professionnel. Certains clubs s'opposent par principe au statut professionnel : les trois clubs strasbourgeois, le , l' et de nombreux clubs parisiens dont le refusent ainsi de se porter candidats. Dans d'autres clubs, la tension est telle que l'on doit jouer sur des artifices pour permettre à certains d'accéder à ce statut. Au , historiquement hostile au statut pro, il n'est ainsi pas question de se fourvoyer. L'équipe fanion du RCF est alors rebaptisée et pose sa candidature au statut professionnel sous ce nom. L' est également en pointe dans le refus au statut pro, mais pas pour des raisons de morale. La hantise du président Henri Jooris, également président de la puissante , est le passage de sa Ligue au rang d'une Division 2. Les voisins du ne se posent pas ce genre de question et sont candidats. Certains joueurs lillois commencent même à y signer des contrats professionnels. Pour stopper l'hémorragie, Jooris est contraint de présenter son club au statut professionnel. Même le hésite à franchir le pas du professionnalisme alors que le club fait figure de club en pointe à ce sujet. À la surprise générale, le comité directeur repousse cette possibilité par vote 73 voix contre 20. Il faut que les supporters promettent de renflouer les caisses en cas de déficit pour que le club rennais s'engage finalement chez les professionnels. Si les dirigeants des clubs du nord du pays apparaissent globalement hostiles à cette évolution, ce n'est pas le cas dans le sud et de très nombreux clubs n'hésitent pas à poser leur candidature. La hérite ainsi à elle seule de près de la moitié des autorisations neuf sur vingt. Un an plus tard, une Division 2 est mise en place et quelques clubs réticents en 1932 acceptent de , parmi lesquels le , l'Amiens AC et le RC Roubaix notamment. Avant-guerre 1932-1939 Palmarès 1932-1939 : : : : : : : - en 1939. La première édition du championnat de France de football professionnel, baptisé Division Nationale, se tient en 1932-1933. Les vingt concurrents, basés en Provence et dans la moitié nord de la France, sont répartis dans deux groupes. L'entraîneur du , avoue finalement avoir plusieurs joueurs fivois lors de l'ultime journée de championnat afin de s'assurer la victoire et la qualification pour la finale ; il est radié à vie. Les nordistes l'emportent 4-3 grâce à un dernier but de. La compétition est très serrée entre le et les clubs de l'Olympique de Marseille, du SC fivois et de l'Olympique lillois. Le sprint final pour le titre est particulièrement inattendu. Le quotidien sportif annonce en une dès le : « L'Olympique de Marseille est virtuel champion de France ». Le FC Sète ne compte en effet qu'un petit point d'avance et une différence de buts défavorable alors qu'il reste encore trois matchs à jouer pour l'OM et aucun pour les Sétois. Alors que les Héraultais, vainqueurs de la face aux mêmes Marseillais, sont partis en tournée en Afrique, l'OM perd ses trois matchs en retard, offrant au FC Sète le premier doublé -championnat de l'histoire du football français. Le match décisif a lieu le match en retard de la 24 e journée face à l'Excelsior de Roubaix. L'Excelsior s'impose 4-2 à l'Huveaune devant 10 000 spectateurs. À partir de 1934, le format du championnat se stabilise avec seize équipes. La troisième édition est largement dominée par le , auteur d'une série de 17 matchs sans défaite entre novembre et avril, et le , tout frais promu, large vainqueur du FC Sète dès la première journée. Le FC Sochaux est finalement sacré à la dernière journée grâce à une victoire sur l'Olympique de Marseille, vainqueur par ailleurs de la Coupe de France. La quatrième édition est dominée par l'Olympique lillois et l'effectif clinquant du , qui doit pourtant faire avec le boycott de son gardien de but vedette. Malgré une avance importante en janvier, les Lillois sont dépassés en avril par les Parisiens, qui réalisent à leur tour le doublé Coupe-championnat. En 1936-1937, il faut pour la première fois avoir recours au correspondant au des buts marqués par les buts encaissés pour départager l'Olympique de Marseille de et de son dauphin le FC Sochaux, vainqueur de la Coupe. Cette saison voit les brillants débuts dans l'élite du , cantonné en deuxième division les années précédentes malgré ses nombreux internationaux et notamment son jeune buteur. Les rôles entre Sochaliens, champions, et Marseillais, vainqueurs de la Coupe, sont inversés en 1937-1938. Enfin la septième édition du championnat, la dernière avant la , voit le remporter un second sacre, devant l'Olympique de Marseille et le Racing. Les joueurs britanniques et ceux originaires d'Europe centrale au premier chef sont nombreux à rejoindre les clubs français professionnels, qui comptent ainsi dans leurs rangs quelques-uns des meilleurs joueurs de la planète, parmi lesquels le gardien de but parisien Hiden, l'attaquant suisse du FC Sochaux ou encore le Marocain qui illumine le championnat en 1938-1939 sous les couleurs marseillaises. Côté français, les buteurs sochalien et rouennais Jean Nicolas sont parmi les joueurs les plus en vue. À l' depuis 1932, le défenseur n'a jamais manqué un match officiel : à l'issue de cette ultime saison, il compte 194 matchs de championnat il est le seul dans ce cas et 25 de Coupe de France. Malgré les problèmes financiers inhérents au passage au professionnalisme et à la multiplication des longs déplacements, le football professionnel français se développe progressivement. Un « effet Coupe du monde » est même noté après l'organisation par la France du , laissant présager d'un avenir radieux... Championnats de guerre 1939-1945 Article détaillé :. Les championnats de à sont appelés « Championnats de guerre ». Par convention, ces titres ne figurent pas au palmarès des clubs. En effet, durant cette période, la France du football a été handicapée par la : les combats, le , les bombardements puis le désordre des premiers mois suivant la Libération ont gêné la mise en place d'un championnat digne de ce nom. En raison de la guerre, les relégations ne sont pas prises en compte en 1939 : les 14 équipes qui ne cessent pas leur activité après la mobilisation générale de septembre 1939 peuvent prendre part à l'édition. Rebaptisée « Championnat national » et réorganisée en trois groupes géographiques par la , la compétition est interrompue au Nord par la et ne couronne pas de champion. L' enlève le groupe Sud aux sur tapis vert. Les permissions sont rares, les équipes alignées souvent constituées de joueurs inconnus. Les éditions suivantes, en et , désignent des vainqueurs par zones d'occupation , et jusqu'en 1942 , quand elles ont pu s'achever. En , la compétition se déroule de façon plus sereine, mais les vainqueurs des deux poules de seize équipes, le et le ne se rencontrent pas. À la fin de cette saison, le , arrivé au poste de commissaire aux sports de un an plus tôt, organise la « nationalisation » du football professionnel français par la du : seize équipes fédérales régionales sont créées et sont seules autorisées à rémunérer des joueurs professionnels, considérés de fait comme des fonctionnaires. Le , décrit comme catastrophique en matière d'organisation tous les matchs ne sont pas joués et de jeu, sacre l'. Les clubs dépossédés de leurs sections professionnelles poursuivent leurs activités footballistiques, s'ils le souhaitent, dans des championnats amateurs, et sont autorisés à participer à la aux côtés des équipes fédérales. Le système des équipes fédérales est abandonné avec la : les anciens clubs retrouvent leurs joueurs et leur statut professionnel. Deux groupes de douze équipes sont montés à partir de novembre au Nord, de janvier au Sud , malgré l'impossibilité pour les clubs de l'Est d'y prendre part combats obligent. Même dans les zones libérées, les transports sont difficiles car les réseaux ferroviaires et routiers sont très endommagés. Malgré une finale remportée en bonne et due forme par le sur le en juin 1945, la est finalement reclassée comme le dernier des championnats « de guerre » les réclamations à traiter sont très nombreuses et le titre reste officiellement non attribué. L'après-guerre 1945-1952 Palmarès 1945-1952 : : : : : : : La refonte de la Division 1 est un sujet prioritaire de la Fédération à l'été , certains clubs ont fusionné pendant la guerre : l' et le au sein du d'une part, les deux clubs de Roubaix et l' au sein du d'autre part. Des places se libèrent, d'autant que l'élite passe de seize à dix-huit clubs. On se réfère ainsi aux résultats du dernier championnat pour admettre directement en D1 les clubs du , des et du , seulement 6 e de en 1939 mais 4 e du groupe Nord en 1944, préféré au , 4 e du groupe Sud, en raison de ses bons résultats durant les saisons de guerre. Le Lille OSC du président est le club le plus régulier de l'immédiat après-guerre. Les Lillois enlèvent le , devant d'inattendus Stéphanois, puis collectionnent les deuxièmes places. Le remporte à la surprise générale le titre en avec quatre points d'avance sur une valeur montante du football français, le. Ce ne sera qu'un feu de paille pour le CORT, qui déclinera rapidement par la suite. L' remporte un troisième titre de champion en s'imposant au « finish » devant le Lille OSC, vainqueur de la Coupe, et Stade de Reims en , malgré un football « fruste ». Les jeunes Rémois concrétisent leur progression par un premier titre la saison suivante, à la barbe des Lillois toujours, dépassés en toute fin de saison. En 1950 c'est au tour des , pourtant tout juste promus, d'ouvrir leur palmarès grâce à une défense imprenable, avant que l', emmené par le brillant , n'en fasse de même en 1951, à l'issue d'un championnat extrêmement serré : cinq équipes se tiennent en deux points, le LOSC étant de nouveau second au goal-average. Malgré le départ du Brésilien pour l'Italie, les Aiglons réalisent l'exploit inédit de conserver leur couronne l'année suivante et, mieux encore, d'y ajouter la Coupe de France. Sous la conduite d' depuis 1950, le s'impose à partir de 1952 comme la première équipe vedette du championnat. Jamais classé au-delà de la quatrième place depuis 1945, grâce notamment à son buteur , le club applique une politique de recrutement de jeunes talents et de formation qui porte ses fruits. Les joueurs vedettes du grand Reims sont le meneur de jeu 1951-1956 puis 1959-1967 , le capitaine 1942-1960 et 1947-1959. En 1953, les Rémois remportent le championnat sans contestation, présentant la meilleure attaque et la meilleure défense, avant d'enlever la au , une première pour un club français. Le fameux « jeu à la rémoise » , un jeu offensif, technique et rapide, et la science tactique de Batteux font des merveilles, à l'opposé du jeu physique en vogue jusqu'alors. Dépassés en toute fin de saison 1953-1954 par le , les Rémois prennent leur revanche la saison suivante. Ils s'inclinent en finale de la face au mais remportent facilement la première édition du face aux Lillois. S'il domine incontestablement dans le jeu, comme l'illustre le nombre de ses joueurs en équipe de France lors de la , le Stade de Reims n'écrase cependant pas le championnat sur le plan des résultats, notamment parce que sa priorité va volontiers à la prestigieuse , dont il atteint la finale à deux reprises, en qui verra Raymond Kopa signer au Real Madrid contre 52 millions de francs lors de l'inter-saison suivante , et en. L'édition 1956 du championnat est remportée par les Niçois de , tandis que la première couronne stéphanoise est acquise en avec quatre points d'avance sur le. Les meilleurs Verts de cette époque sont , , le meneur de jeu et , dirigés par. Les transferts en Champagne des attaquants de l'OGC Nice et du FC Nancy en 1956 et 1957 permettent aux Rémois de remporter le doublé Coupe- en 1958. À l'épopée européenne rémoise de 1959 répond un nouveau titre de champion pour l' de. L', dernier club à avoir participé à toutes les éditions du championnat de France, est à son tour relégué en. Le Stade de Reims remporte deux nouveaux titres de championnat en et en , en dominant avec une certaine facilité ses concurrents. Lors de cette dernière saison, il termine en tête, vainqueur de son dernier match 5-1, à égalité de points avec le et avec la même. Malgré la meilleure attaque du Racing, le titre est bien décerné aux Rémois, départagés à la. Cette déception marque la fin du grand Racing de , une équipe particulièrement populaire et spectaculaire, dont l'attaquant est plusieurs fois meilleur buteur du championnat. Trop irrégulière, elle est troisième en 1959 et 1960 et perd surtout le titre à la dernière journée à deux reprises, en 1961 face à l', alors qu'une victoire lui assurait d'être sacrée championne de France , et en 1962 face au Stade de Reims. Parmi les illustres « perdants » de cette époque figure également le , mené par le buteur et l'entraîneur , qui échouera régulièrement dans le trio de tête sans jamais arriver à décrocher le Graal. Just Fontaine doit arrêter sa carrière en 1962 et le Stade de Reims termine au deuxième rang la saison suivante derrière l' de , déjà championne de France en 1961. Les parcours décevants en Coupe d'Europe et l'indépendance de Batteux vis-à-vis des dirigeants conduisent les responsables rémois à ne pas renouveler le contrat de l'entraîneur à la fin de la saison 1962-1963, marquant ainsi la fin de la domination du Stade de Reims sur le football français. En 1964, la règle de la moyenne de buts est remplacée par celle de la différence de buts. Scène de joie des Verts, ici en 1976. Pour son retour dans l'élite en 1963, l' décroche un deuxième à la surprise générale des observateurs. Dans le même temps, la relégation conjointe des grands anciens, le , le et l', introduit vingt années de domination des Stéphanois sur le football français, qualifiées de « grande époque des Verts ». Cependant les années d'après-titre sont plus difficiles : les Verts sont humiliés par les Suisses du au premier tour de la et distancés par le de en championnat. Il faut attendre 1967 pour les voir remporter de nouveau le à l'issue d'un duel serré avec les Nantais. Le trophée est remporté après une victoire 2-1 sur l' devant 20 000 spectateurs. Le club complète son palmarès avec les victoires en Coupe de la Ligue et en. Les Nantais conservent leur titre de champion de France la saison suivante et terminent meilleure défense 36 buts , meilleure attaque 84 buts et voient aussi le titre de meilleur buteur être glané par avec 36 réalisations en 37 matchs de championnat. Néanmoins le club perd en finale de la coupe de France contre le 0-1 ainsi qu'au premier tour de la contre les du , futurs finalistes de la compétition. Il faut attendre 1967 pour voir les Stéphanois reprendre les rênes du à l'issue d'un nouveau duel serré avec les Nantais. L'année suivante, la greffe prend exceptionnellement bien entre et son nouveau club, l'AS Saint-Étienne, qui remporte dès sa prise de fonction le premier doublé - de son histoire , en dominant ses concurrents assez largement. Les hommes de Batteux conservent leur couronne la saison suivante, malgré la concurrence des , faisant de l'ASSE le premier club vainqueur de trois titres de champion de France d'affilée. En 1970, les Stéphanois remportent un triplé historique --. Signes de la domination totale des Verts sur le football français, le dauphin en championnat, l', pointe à onze points en fin de saison, tandis que la finale de Coupe est remportée face à un FC Nantes ridiculisé par un cinglant 5-0. L'année suivante et après une lutte acharnée contre le rival stéphanois, l'Olympique de Marseille décroche le titre de champion de France, avec un duo d'attaquants composé de qui marque 44 buts, ce qui reste le record de buts inscrits en championnat sur une saison, et de. L'OM frappe ensuite un grand coup en recrutant, chez les Verts, et , qui lui permettront de réaliser pour la première fois de son histoire le doublé championnat-coupe la saison suivante. Dominés en 1973 par le , les Verts prennent leur revanche les années suivantes en signant deux nouveaux doublés Coupe-championnat en 1974 et 1975. Mieux encore, ils vivent leur première en éliminant les Portugais du , l' de puis les Polonais du avant de s'incliner en demi-finale face au. Ils y gagnent une grande popularité à travers le pays. En , les Verts remportent le championnat de France pour la troisième année consécutive et réalisent un resté dans les mémoires. Ils éliment successivement le , les , le du ballon d'or et enfin le. En finale, ils affrontent le 12 mai le Bayern Munich, double tenant du titre, au de. Les Verts touchent deux fois les poteaux avant de s'incliner sur un but sur coup franc de. Dans la fin des années 1970, la domination stéphano-nantaise n'est plus aussi pressante, l'AS Monaco enlevant deux titres en et , , tandis que le RC Strasbourg de l'entraîneur décroche l'édition. Les recrutements du jeune et de l'international hollandais replacent l'ASSE au sommet du football français en grâce à un Platini qui arrive au sommet de son art ,. La course au titre de meilleur buteur de la saison 1970-1971 reste l'un des grands moments de cette période. Le Marseillais remporte finalement cette distinction avec 44 buts inscrits en 38 matchs devant le Stéphanois et ses 42 buts. À l'image des treize buts inscrits en phase finale de Coupe du monde par en 1958, ce record de 44 buts sur une saison apparaît comme inaccessible, même pour des buteurs en série comme l'Argentin qui plafonne à 37 buts en 38 matchs en 1977-1978. Parmi les autres grands buteurs de ces années, on compte 36 buts en -1966 , 299 buts de à , 255 buts de à et 216 buts de à notamment. Les Girondins de Bordeaux et l'Olympique de Marseille en patron 1983-1993 Palmarès 1983-1993 : : : : : : : : : : non attribué , ici en 2009, triple champion de France avec les. Dans le milieu des , les Girondins sont l'équipe-phare du football français. Ils remportent trois titres en 1984, 1985 et 1987, deux et se qualifient chaque année pour les. Ils manquent de peu la consécration européenne par deux fois. En , ils sont battus en demi-finale de la par la de. En , les Girondins sont de nouveau sortis en demi-finale de la par le. Le , Bordeaux remporte la face à l', en pleine ascension au début des années , en s'imposant 2-1 après prolongation grâce à un somptueux but de Giresse sur. L'année suivante est réalisé son premier et seul doublé en devançant l' de quatre points en championnat et dominant ces mêmes Marseillais 2-0 en finale de la Coupe. Au terme de la saison où le club finit dixième, la décide de reléguer administrativement les Girondins de Bordeaux en D2 en raison de leur déficit budgétaire environ 45 millions d'euros actuels. Durant cette période de domination bordelaise, deux autres clubs décrochent tout de même un titre de champion de France : le en et l' en avec à sa tête un certain. S'ensuit une longue période de domination marseillaise connue sous le nom d'ère Tapie, du nom du président marseillais de l'époque , qui voit se succéder à l'OM de grands ou futurs grands joueurs tels que , , , , ou et des entraîneurs de renom tels que , ou. Le club, après avoir été le dauphin des Girondins de Bordeaux en , remporte quatre championnats de France de à et une coupe de France en. Régulièrement qualifié en coupe d'Europe, il atteint les demi-finales de la en face à l' de , puis les demi-finales de la en face au. En , Marseille échoue en finale de Coupe d'Europe des clubs champions face à l' aux tirs aux buts 5-3 , après avoir notamment éliminé en quarts de finale le , double tenant du titre. L'AC Milan de , et Jean-Pierre Papin est encore défait par l'Olympique de Marseille, cette fois en finale de la à 1-0 , le d'un but de la tête de Basile Boli. Il s'agit de la première victoire d'un club français en Coupe d'Europe, qui est terni dans la foulée par l', une affaire de corruption qui éclate à la suite du match de championnat entre l' et l', des joueurs valenciennois déclarant avoir reçu des sommes d'argent d'émissaires de l'équipe adverse pour lever le pied durant le match. Le 22 septembre, la fédération française suspend l'attribution à l'OM du titre de champion de France pour la saison 1992-1993, ainsi que les licences de Jean-Pierre Bernès et des joueurs impliqués. Années d'alternance 1993-2001 Palmarès 1993-2001 : : : : : : : : En , le brésilien renforce l'effectif du , qui s'installe en tête du championnat en octobre pour ne plus la lâcher, décrochant enfin un titre face au rival marseillais qui est de plus rétrogradé administrativement. La saison suivante est celle du renouveau du , qui a atteint la finale de la avec des joueurs comme , , ou avant de dominer le. Les Canaris remportent alors le septième titre du club, réalisant un record de trente-deux matchs d'affilée sans défaite. En 1996, le PSG remporte la. Lors de la , le championnat est d'abord largement dominé par le , qui est sacré champion d'automne avec sept points d'avance sur l' de et le. Pourtant l'équipe parisienne réalise de nombreuses contre-performances en février et mars, au point d'être dépassée par les Bourguignons fin mars. Le 4 mai, l'AJ Auxerre remporte sa deuxième Coupe de France en battant le 2-1 , avant d'être sacrée championne de France pour la première fois de son histoire à la surprise générale et de réaliser ainsi le doublé Coupe-Championnat. Le Paris SG se console en remportant le 8 mai la , une première pour un club français, face au. Lors de sa seconde année à la tête de l', empoche le titre de avec son équipe, composée notamment de , , , , , et. Il emmène l'ASM en demi-finales de la , seulement défait par l', et de la face à au. La saison suivante, le championnat est animé par deux outsiders que sont le et le , deux équipes au palmarès encore vierge dans cette compétition. Au coude à coude tout au long de la saison, c'est finalement les Nordistes qui remportent le titre, à la. Le voit également un coude à coude tout au long de la saison entre les , dirigés par , et l' de. Lors de la dernière journée de la saison, les deux équipes sont respectivement à 69 et 68 points avec donc l'avantage pour les Girondins. L'OM se déplace chez le tandis que les Bordelais doivent ramener la victoire du face au. Alors que l'OM ouvre le score à la 38 e minute par , Bordelais et Parisiens sont à égalité 2 buts partout quand Baup fait rentrer , qui vient battre à la 89 e minute, offrant le premier titre depuis douze saisons aux Girondins ,. La , l'AS Monaco domine le championnat grâce à des joueurs comme , , , , , , , , , , et qui connaîtront tous de grandes carrières par la suite. Le club du Rocher remporte ainsi son septième titre de champion de France mais souffre l'année suivante des départs de ses meilleurs joueurs. En , et son équipe de jeunes joueurs, en grande partie formés au et qui ont déjà remporté deux en et , décrochent le huitième titre de du club. L'hégémonie lyonnaise 2001-2008 Palmarès 2001-2008 : : : : : : : remporte avec l' sept titres consécutifs. En , l' obtient son premier titre de champion de France lors de la dernière journée. S'ensuit alors une série inédite de sept titres consécutifs de champion de France. L'Olympique lyonnais commence le avec une étiquette de favori. Alors que le club lyonnais est en tête lors de la neuvième journée , il est peu à peu distancé par le leader lensois, qui compte sept points d'avance au soir de la dix-neuvième journée. Mais l'écart ne va cesser de diminuer, à tel point qu'à la veille de la dernière journée, un seul point départage les deux équipes, qui s'affrontent au. Le duel tourne en faveur de l'Olympique lyonnais qui s'impose par trois buts à un et remporte ainsi son premier titre de champion. L', le scénario est similaire, après un début de saison poussif, l'Olympique lyonnais rattrape le peloton de tête à mi-saison. À dix journées de la fin, le club est quatrième et compte six points de retard sur l' , mais six victoires consécutives lui permettent de prendre la tête au soir de la trente-deuxième journée, qu'il conserve jusqu'à la fin du championnat. La voit l'Olympique lyonnais de proposer un jeu plus offensif, qui permet à l'équipe de remporter un troisième titre d'affilée à l'issue d'un duel serré avec l'. En , l'OL se hisse jusqu'en quart de finale avant d'être battu par le futur vainqueur de la compétition, le. L' en rouge contre l' en blanc en. La saison suivante, l'OL est plus dominateur en championnat, en tête dès la dixième journée, les Lyonnais terminent avec douze points d'avance sur leur dauphin, le. En Ligue des champions, ils s'arrêtent de nouveau en quart de finale, éliminés aux tirs au but par le. L'équipe survole de nouveau , quinze points la séparant des à la fin de la saison. L', l'OL accentue encore sa domination, puisque les Lyonnais ne chutent pour la première fois que face au le 4 novembre, après neuf victoires consécutives. La deuxième moitié de saison est plus difficile, en mars 2007, l'OL se fait éliminer en huitième de finale de la par l' , puis perd la finale de la contre les. Le club conserve néanmoins le titre champion de France, cinq matchs avant la fin de la saison, et égale son record du plus grand nombre de victoires à l'extérieur. Bien qu'en tête tout au long de la saison, l'OL doit affronter la concurrence des Girondins de Bordeaux jusqu'à la dernière journée. En disposant de l', l'Olympique lyonnais est champion pour la septième fois consécutive et bat ainsi le record du nombre de championnats gagnés consécutivement en France. Il remporte une semaine plus tard la en prenant le dessus sur le , ce qui lui permet de fêter le premier doublé de son histoire. Entre le titre de et celui de , l'effectif est renouvelé à 80 % et quatre entraîneurs se succèdent. Il s'agit de , , et mais cela ne remet pas en cause la stabilité garantie par le duo et , qui explique en grande partie le succès du club. Une période ouverte 2008-2012 Palmarès 2008-2012 : : : : , capitaine du , est sacré champion de France en 2011. Lors de la , les Girondins de Bordeaux remportent leur troisième face au , rejoignant le en tant que club ayant le plus de victoires dans cette compétition. À la lutte avec l', le club termine sa saison sur une série de onze victoires consécutives. Il devient champion le sur le terrain du et remporte le sixième trophée de Champion de France de son histoire. La saison suivante, l'OM de est renforcé par les arrivées des internationaux argentins et ainsi que par celle de l'ex-Girondin. Le club brise sa série de dix-sept ans sans titre majeur le en remportant la face aux Girondins de Bordeaux 3-1 , puis en étant sacré deux journées avant la fin de la saison. Cette décennie est marquée par les finances des clubs qui posent problèmes depuis 2008-2009. En effet, ceux qui compensaient leurs déficits d'exploitation en vendant leurs meilleurs joueurs ne le peuvent plus depuis l'apparition d'une crise du marché des transferts en Europe, liée aux difficultés économiques que traverse le Vieux Continent. Les clubs de première et deuxième divisions présentent un bénéfice d'environ 50 millions d'euros par saison de 2005-2006 à 2008-2009 alors que 71 % de leurs recettes sont affectées aux salaires, contre 61 % en Allemagne et 60 % en Angleterre. La est importante dans l'histoire du puisque ce dernier réalise le doublé championnat-coupe de France, titres qui lui échappent respectivement depuis et. Le LOSC termine le championnat à la première place devant le champion sortant, l', et bat en finale de coupe le , tenant du titre, au. Ce doublé est le deuxième de l'histoire des Dogues après celui de la saison 1945-1946 et le seizième de l' ,. Lors de la , le déjoue tous les pronostics de début de saison en devenant pour la première fois de son histoire lors de l'ultime journée d'une saison où le club n'aura quitté qu'une seule fois les deux premières places. La suprématie parisienne depuis 2012 Palmarès 2012-2018 : : : : : : Le joueur du , trois fois meilleur buteur du championnat. En 2011, le rachat du par le fonds d'investissement souverain QSI apporte au club des moyens financiers considérables qui lui permettent d'asseoir sa domination sur la Ligue 1. Ainsi, , le sous la direction de l'Italien remporte le troisième titre de champion de son histoire, après dix-neuf ans d'attente, en s'imposant à deux journées de la fin sur la pelouse de l' 0-1 , oubliant sa déception de l'année précédente et la place de dauphin derrière le. Ce titre est acquis en partie grâce à , meilleur buteur cette saison-là avec plus de trente réalisations, du jamais vu en France depuis la saison et le ballon d'Or. La , la formation parisienne conserve son titre de champion de France , le premier club français à réaliser cela depuis 2008 et l'. Il s'agit alors du quatrième titre du PSG dans son histoire, rejoignant l'. Durant cette saison, Paris bat deux records : celui du nombre de points 89 et du nombre de victoires 27 sur une saison. Le Paris Sant-Germain réalise également le doublé en remportant la. Durant la , le PSG conserve son titre de champion difficilement, après avoir pris les rênes du classement seulement à partir de la trentième journée. En effet, d'abord l' durant l'automne et l' au cours de l'hiver ont empêché le club parisien de ravir le titre plus tôt. La voit le Paris Saint-Germain battre tous les records en remportant le championnat dès la trentième journée en battant l' sur un score historique 0-9 , il s'agit alors du record de la plus large victoire à l'extérieur et du titre acquis le plus tôt, alors que l'hiver n'est même pas encore terminé. Il permet au club parisien de ravir le titre une quatrième fois consécutive et une sixième fois dans son histoire, se rapprochant peu à peu des hauteurs du palmarès français. Le club parisien rafle également plusieurs autres records au cours de cette saison dont celui de la meilleure défense 19 buts , du plus grand nombre de points 96 , du plus grand nombre de victoires et celui de la plus grande différence de buts +83. En parallèle de ses succès en championnat, le Paris Saint-Germain réalise en 2015 le quadruplé inédit dans l'histoire du football français avec quatre titres à son actif durant cette saison, il s'agit de la , la , le et enfin le championnat. Le PSG réitère le quadruplé national en 2016. Lors de la saison , le Paris Saint-Germain ne peut empêcher l'ascension de l', menée notamment par et , qui remporte son huitième titre et met fin à la série de titres du club de la capitale. Ce dernier continue cependant sa domination sur les coupes nationales en soulevant la Coupe de la Ligue, la Coupe de France et le Trophée des champions. La saison voit le retour en force du Paris Saint-Germain qui a renforcé son effectif durant le mercato estival avec les transferts faramineux de 220 millions d'euros en provenance du et Kylian Mbappé 180 millions d'euros. Le PSG remporte un sixième Trophée des Champions consécutifs ainsi qu'une cinquième Coupe de la Ligue consécutive face à l'AS Monaco. Le PSG est champion de France pour la septième fois de son histoire après une victoire face au champion en titre au soir de la 33 e journée du championnat sur le score de 7 buts à 1. Depuis le premier championnat de France professionnel en jusqu'à la saison , 80 titres ont été mis en jeu. Sur les 19 clubs qui sont parvenus à remporter le championnat, les plus titrés sont l', l' avec respectivement dix et neuf titres. L' et le complètent le podium avec huit titres chacun. Le tableau suivant liste les clubs vainqueurs du championnat de France et, pour chaque club, la division dans laquelle ils évoluent lors de la saison 2018-2019, le nombre de titre s remporté s et les années correspondantes par ordre chronologique. En soixante-dix-huit éditions du championnat de France, de nombreux records ont été établis par les différents clubs participant à cette compétition. À ce jour, le record d'affluence moyenne sur une saison est de 23 154 spectateurs par match, réalisé lors du , alors que le record d'affluence pour un match est détenu par la confrontation entre le et l' du au , avec 78 056 spectateurs. Le record de buts sur une saison est de 1 334 buts inscrits 3,51 par match , lors de la pour un championnat à vingt clubs et de 1 138 buts inscrits 3,71 par match lors de la pour un championnat à dix-huit clubs. Les joueurs ont été le plus sanctionnés par les arbitres lors du , puisque cette saison détient le record du plus grand nombre de cartons jaunes 1 654 et le record du plus grand nombre de cartons rouges 131. Clubs Article détaillé :. Le plus grand nombre de points récoltés lors d'une même saison est détenu par le , avec 96 points en victoire à trois points , alors que les records de points récoltés sur une même saison à domicile et à l'extérieur sont respectivement détenus par l' avec 52 points lors de la , victoire à trois points et par le Paris SG avec 48 points lors de la , victoire à trois points. Le record d'invincibilité d'un club en première division est détenu par le avec une série de 36 matchs sans défaite, à cheval sur les saisons et. Le détient le record d'invincibilité sur une seule saison, 32 matchs sans défaite, une série réalisée lors de la saison 1994-1995. Ce club détient également le record d'invincibilité à domicile avec 92 matchs sans défaite du au. Le plus grand nombre de victoires consécutives est détenu par l' avec seize victoires à cheval entre la et la. Le plus grand nombre de défaites consécutives est détenu par le avec douze défaites lors de la et par le à cheval entre la et la. Le record du plus grand nombre de buts marqués sur une saison est détenu par le avec 118 buts lors de la tandis que le record du plus petit nombre de buts encaissés sur une saison, 19 buts, est établi lors de la par le. Ce club établit à cette occasion le record de la plus grande différence de buts sur une saison, avec 102 buts marqués pour 19 buts encaissés soit une différence positive de 83. La plus large victoire enregistrée lors d'un match de première division est celle du face à l' lors de la 12-1. Joueurs , meilleur buteur de l'histoire de première division. Le joueur ayant joué le plus de matchs en première division est le gardien de but , qui compte pas moins de 618 matchs en première division avec 4 clubs différents, le 1996-2006 , le 2006-2009 , le 2009-2012 et le 2012-2014. Il est suivi par deux autres gardiens de buts : 602 matchs et 596 matchs. Le joueur ayant joué le plus grand nombre de matchs consécutifs en première division est également un gardien de but, il s'agit de pour ses 306 rencontres avec l'. Le joueur de champ ayant joué le plus de matchs de première division est qui se classe cinquième du classement général avec 586 matchs entre 1970 et 1988. Le record d'invincibilité pour un gardien de but est détenu par , qui a gardé les buts des inviolés durant 1 176 minutes lors de la. Le meilleur buteur de l'histoire de la première division est l'Argentin , qui a inscrit 299 buts en 449 matchs entre 1971 et 1986. Il est suivi par les Français et , avec respectivement 255 buts en 497 matchs et 216 buts en 389 matchs. Le meilleur buteur sur une saison est le Yougoslave qui inscrit 44 buts avec l' lors de la. Le meilleur buteur français sur une saison est avec le durant le championnat 1965-1966. Le record de buts inscrits en un seul match est codétenu par , avec le , et le Suisse , avec le , en inscrivant tous deux sept buts face à l', respectivement le 1 er mai 1938 et le 25 août 1935. Le but le plus rapide est celui de , joueur du , inscrit le 15 février 1992 contre l' dès la huitième seconde du match. Le joueur ayant été le plus expulsé lors de matchs de première division est avec vingt-deux cartons rouges obtenus tout au long de sa carrière. Le plus jeune joueur à participer à un match de première division est , le 25 août 1978 avec l', alors qu'il n'avait que quinze ans et dix mois. Entraîneurs , entraîneur ayant le record de longévité en championnat. Il est suivi par avec 782 matchs coachés entre 1955 et 1982 pour le , le et le , et par avec 655 matchs coachés entre 1950 et 1979 avec le , l' et l'. Il est suivi par , par et par qui l'ont remporté tous trois à quatre reprises avec l' 1974, 1975, 1976, 1981 pour le premier, avec l' 1961, 1963, 1978 et l' 1971 pour le deuxième et avec les 2009 et le 2014, 2015, 2016 pour le troisième. Distinctions individuelles Il y a plusieurs distinctions individuelles attribuées au terme d'une saison du championnat de France. Si attribue des récompenses depuis , les ne leur font concurrence que depuis. Les récompenses France Football à gauche ici en 1974, première « Étoile d'or » du championnat de France. Le trophée de l'Étoile d'or récompense le joueur le plus performant et régulier de la saison de première division du championnat de France, sans distinction de nationalité. Il est décerné à la fin de chaque saison au joueur ayant obtenu la meilleure moyenne d'étoiles attribuées à l'occasion de chaque match de championnat. La note d'un joueur est comprise entre 0 cas d'un joueur expulsé et 10 auparavant 6 étoiles attribuée de façon rarissime. Depuis la , un classement spécifique est établi pour les gardiens de but. Le premier joueur à avoir remporté cette distinction est le Hollandais en 1957. Par la suite deux joueurs de champs et deux gardiens de but se sont illustrés en remportant à trois reprises l'Étoile d'or d'une saison. Il s'agit du Franco-Algérien en 1964, 1966 et 1967, du Français en 1966, 1968 et 1969, et des gardiens de but en 1995, 1996 et 1997 et en 2008, 2010 et 2011. Les deux derniers lauréats de ce trophée sont le suédois et le gardien franco-portugais après leurs performances en 2016. France Football a attribué également depuis un trophée au meilleur entraîneur français de l'année. Les récompenses UNFP a remporté deux trophées UNFP en tant qu'entraîneur. Créée en sous le nom des « Oscars du football », la cérémonie change de nom en. Elle est organisée par l' UNFP en mai à la fin de la saison de football ,. Quatre grandes récompenses concernent les acteurs du championnat de France de première division : le « Meilleur joueur de l'année », le « Meilleur espoir de l'année », le « Meilleur gardien de l'année » et le « Meilleur entraineur de l'année ». Le trophée du meilleur gardien n'est remis que depuis 2002. Depuis 1994, seul a remporté le trophée de meilleur joueur à trois reprises en 2013, 2014 et 2016. Enfin, est le seul entraineur à avoir remporté le trophée du meilleur entraîneur à trois reprises en 2008 avec les , en 2015 et 2016 avec le. Deux entraîneurs ont décroché deux fois ce même trophée : Il s'agit de , qui le remporte une première fois en 2000 avec l', puis une deuxième fois en 2006 avec le , et de René Girard qui le remporte en 2012 avec le et en 2014 avec le. Lors de cette cérémonie, un trophée est remis à l'auteur du plus beau but de la saison selon le vote des supporteurs. De plus, une équipe type de première division est constituée. Coefficient UEFA Classement du championnat français au coefficient UEFA 1960 1961 1962 1963 1964 1965 1966 1967 1968 1969 2 4 8 6 14 16 15 16 18 1970 1971 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 19 17 18 23 20 18 15 14 9 10 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 8 6 8 10 11 15 14 10 11 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 6 4 5 2 3 4 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 4 5 4 5 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 5 6 5 Le tableau ci-contre récapitule le classement de la France au depuis 1960. Ce coefficient par nation est utilisé pour attribuer à chaque pays un nombre de places pour les compétitions européennes et ainsi que les tours auxquels les clubs doivent entrer dans la compétition. Depuis 1990, le championnat français fait partie des six meilleurs championnats européens. Jusqu'en 1997, la France n'envoie que le champion en Ligue des champions, les trois ou quatre équipes suivantes participant à la , sauf qualification pour la. À partir de 1997, les vice-champions des huit meilleures ligues, dont a toujours fait partie la France depuis 1990, sont autorisés à participer au tour préliminaire. Depuis 1999, la France reçoit le droit d'envoyer ses deux meilleurs clubs dans une phase de groupes élargie à 32 clubs, le troisième pouvant y entrer par un ou deux tours préliminaires. Le club classé quatrième continue de se qualifier pour la Coupe UEFA, désormais connue sous le nom de Ligue Europa. Les places qualificatives pour la 1995-2008 ont pu descendre jusqu'au dixième rang. Depuis l'abolition de la en 1999, le vainqueur de la est qualifié pour la Ligue Europa. À partir de la création de la en 1994, le vainqueur de cette compétition est également qualifié pour l'édition suivante de la Ligue Europa. D'autres dispositions s'appliquaient si le vainqueur d'une coupe européenne est français. La France pouvait disposer d'une place supplémentaire européenne au titre du , de 1995 à 2015. Seul le a bénéficié de cette qualification en 2003-2004. Désormais, les fédérations les plus fair play sont récompensées financièrement par l'UEFA. À l'issue de la saison 2017-2018, le championnat de France est classé au 5 e rang UEFA, derrière l', l', l' et l'. Le troisième peut rejoindre la phase de groupes en passant par deux tours de qualification. Étant donné que la France dispose de deux places directes en phase de groupes et une pour le deuxième tour de qualification, la vainqueur de la Coupe de France et le quatrième du championnat se qualifient pour les poules et le vainqueur de la Coupe de la Ligue accède au deuxième tour de qualification. Ainsi, le cinquième du championnat se qualifie pour la phase de groupes et le sixième du championnat se qualifie pour la phase de qualification. Dans le meilleur des cas, il est possible que huit clubs du championnat se qualifient pour les compétitions de l'UEFA : cinq en Ligue en champions trois places pour le podium de la Ligue 1, une place en tant que vainqueur de la Ligue des champions et une place en tant que vainqueur de la Ligue Europa et trois en Ligue Europa. Les clubs en gras indiquent les succès en finale, le reste correspond aux défaites subies en finale continentale. L'équipe ayant disputée le plus de finales européennes est l' OM avec cinq finales suivie par le PSG 3. En plus de la Ligue des champions, de la Coupe des coupes, de la Ligue Europa et de la Supercoupe, les clubs français se sont distingués dans la. Cette compétition, qui permettait aux vainqueurs de se qualifier pour la Coupe UEFA, a vu douze clubs français obtenir chacun un titre. Les sont les plus prolifiques pour le football français. En , l'OM bat un but à zéro l' en finale de la tandis qu'en , le PSG s'impose contre le sur le même score en finale de la mais s'incline ensuite contre la en finale de la. Paris et Marseille participent à trois autres finales dans la décennie : revers contre l' puis pour l'OM, défaite contre le pour le PSG. L' et les atteignent également une finale européenne dans cette décennie, tous deux battus par un club allemand respectivement le et le. À ses débuts en 1932, le championnat de France professionnel est géré par la commission du Championnat de France professionnel, commission de la qui chapeaute les clubs dits « autorisés » à rémunérer leurs joueurs. Le championnat s'appelle alors Division nationale. Le 23 octobre 1932, les clubs disposant d'une équipe professionnelle créent de plus l'Amicale des clubs amateurs utilisant des joueurs professionnels. Le 16 juin 1945, la FFFA décide de confier la gestion du football professionnel à un organisme qui s'occupera désormais d'organiser seul le championnat de France. L'association, déclarée le 12 mars 1946 , prend le nom de « Groupement des clubs autorisés à utiliser des joueurs professionnels ». Elle devient le Groupement du football professionnel GFP le 15 janvier 1969. Au conseil national de juillet , le projet d'unification des championnats amateurs et professionnels, avec l'institution d'un nouveau championnat National, pour des équipes à statut à la fois professionnel et amateur, est acté. Cette réorganisation des championnats nationaux, opérée conjointement par la et le Groupement du football professionnel, va s'opérer sur deux saisons entre et. À la suite de la réforme, la Division nationale du championnat de France professionnel devient le premier échelon de la nouvelle pyramide et prend le nom de Division 1. Le Groupement du football professionnel GFP change une nouvelle fois de nom le 20 février 1981 pour devenir la Ligue nationale de football LFP- , puis encore une fois le 7 juillet 2002 pour devenir la Ligue de football professionnel, date à laquelle la Division 1 devient la Ligue 1, nom actuel du championnat. Format de la compétition Localisation des clubs engagés dans le championnat. Le championnat oppose vingt clubs français en une série de trente-huit rencontres jouées durant la saison de football. Le classement est calculé avec le barème de points suivant : une victoire vaut trois points et le match nul un. La défaite ne rapporte aucun point. Les critères de départage entre plusieurs équipes sont, dans l'ordre d'importance, le plus grand nombre de points, la plus grande générale, les confrontations directes entre les équipes concernées avec application de la , le plus grand nombre de buts marqués, le plus grand nombre de buts marqués pendant une rencontre et la meilleure place au Challenge du fair-play un point par joueur averti, trois points par joueur exclu. À la fin de la saison, l'équipe terminant en tête du classement est sacrée championne de France, alors que les deux dernières sont reléguées en et que l'antépénultième affronte le vainqueur des barrages de Ligue 2 en rencontre aller-retour. Les quatre premières places de ce championnat sont qualificatives pour les compétitions européennes que sont la et la. Les deux autres places sont attribuées au vainqueur de la et à celui de la. Les dix-sept premiers du , les deux premiers du appelés les promus et le vainqueur du barrage aller-retour opposant le 18 e de Ligue 1 au vainqueur des play-offs Ligue 2 participent à la saison 2018-2019. Équipes engagées pour la saison 2018-2019 Club Dernière montée Entraîneur Stade Capacité théorique Quantième saison en première division 2017 12 097 2 e 2015 18 000 27 e 2013 18 523 60 e 2004 41 965 65 e 2016 13 778 4 e 2013 18 465 13 e 2013 37 473 51 e 1992 42 115 66 e 2000 50 157 59 e 2009 32 900 27 e 2018 18 482 35 e 2002 35 624 60 e 1996 67 394 69 e 1989 59 186 60 e 1974 47 929 46 e 2017 27 500 58 e 2014 20 453 18 e 2018 21 628 35 e 1994 29 778 62 e 2003 33 150 31 e Évolution du règlement Relégation Les deux derniers du classement final sont directement relégués et les deux premiers du niveau inférieur les remplacent. À l'époque où la D2 était divisée en deux groupes, un premier match de pré-barrage, sur une rencontre sèche, opposait les deuxièmes d'un groupe qui recevaient les troisièmes de l'autre groupe. Les deux vainqueurs s'affrontaient ensuite en et le vainqueur de cette confrontation disputait alors les barrages d'accession contre le 18 e de D1, également en match aller-retour, la première rencontre étant toujours sur le terrain de l'équipe de D2. Bonifications Afin de relancer le spectacle, la Ligue met en place plusieurs systèmes de bonifications. Le bonus des années 1970 est le plus fameux. On accorde un point supplémentaire aux équipes marquant trois buts en. Ainsi, un match nul 3-3 est récompensé d'un point supplémentaire pour chaque équipe, générant quelques matchs douteux. La Ligue rectifie le tir la saison suivante en accordant seulement un point supplémentaire à une équipe qui s'impose par au moins trois buts d'avance, puis abandonne cette formule qui prêta à controverses. La Ligue joua également sur le nombre de points attribués pour une victoire. Dès la saison , le système de la victoire à trois points est testé. Il est finalement adopté en. Restriction du nombre d'étrangers En -, la D1 compte 113 joueurs étrangers sur 387, soit 29,2 %. On monte à 35 % en -. Leur nombre est ensuite limité à trois, puis à deux, sur le terrain dès. Malgré ces restrictions, les clubs de D1 conservent en moyenne plus de cinq joueurs étrangers dans leur effectif jusqu'à la guerre. De à , le nombre moyen de joueurs étrangers par club de D1 passe de 1 à 3,45. Paul Nicolas, président du , ferme les portes du championnat aux joueurs étrangers le. Ceux étant déjà sous contrat peuvent cependant rester ils ne sont plus que 16 en D1 en , mais aucun joueur étranger ne peut plus être recruté. L'objectif de Nicolas est de favoriser la formation au sein des clubs. Entre et , les clubs peuvent recruter un joueur étranger, mais la frontière est ensuite de nouveau fermée jusqu'en. De nombreux joueurs africains profitent de la période de fermeture du marché étranger pour faire leur entrée en masse en D1. Les clubs jouent en effet sur la double nationalité de ces joueurs, tous nés sous autorité française, empire colonial oblige. À partir de , le marché étranger ne sera plus jamais interdit aux clubs français. Le nombre de joueurs étrangers par club est d'abord limité à deux, puis à trois. L' modifie la donne en profondeur en créant de fait un marché européen ouvert à partir de la saison -. Remplacements Le Groupement tente d'introduire le douzième homme en Championnat à partir de la. Dans un premier temps, un vote du décide que seul un gardien de but blessé pourra être remplacé. Un nouveau vote le annule les décisions prises le 28 février. L'utilisation d'un est finalement adoptée en. Lors de la première journée de la , le Red Star est la première formation a procéder à un changement dès la sixième minute de jeu. Un deuxième changement de joueur est autorisé depuis la. Aucun club n'utilise ses deux remplaçants lors de la première journée du championnat. Le LOSC et Rennes procèdent à leurs deux changements à l'occasion de la deuxième journée lors de matchs joués et perdus à l'extérieur le vendredi. Le troisième changement est introduit en. Le nombre de joueurs sur la feuille de match est actuellement de 18. Il était de 16 jusqu'en 2010. Afin de répondre à ces exigences, un certain nombre de règles a été établi. Il est demandé aux équipes de Ligue 1 d'évoluer dans un stade de 20 000 places couvertes minimum, le nombre de places évoluant proportionnellement avec le bassin de population de la ville où se situe l'enceinte. Il doit aussi répondre à des contraintes tant au niveau du confort des acteurs du jeu terrains, vestiaires... Le club doit également répondre d'obligations vis-à-vis des médias, de la sécurité et des conditions dans lesquelles se déroule le match. Depuis la saison 2009-2010, un ballon unique est utilisé lors des rencontres. Les ballons sont fournis par l'équipementier allemand. Lors de la saison 2012-2013, les ballons sont fournis par. Mais pour la saison 2017-2018, le ballon officiel est fourni par. Son nom est « Elysia ». Ce ballon a été annoncé par la Ligue de football professionnel le 29 mai 2017. Vingt-et-un arbitres sont retenus en début de saison pour devenir les arbitres principaux des matchs de première division. À l'issue de la saison, un classement est établi sur les performances de ces derniers et le moins bon arbitre est rétrogradé en division inférieure. Parmi les arbitres de Fédérale 1, neuf sont internationaux et peuvent être appelés à arbitrer des matchs de coupe d'Europe des clubs, voire des confrontations entre équipes nationales. Parmi eux se trouvent , qui a participé à plusieurs matchs de , de et des , ou encore , qui devient en décembre 2009 le plus jeune arbitre français désigné arbitre international par la. L'arbitre occupant actuellement le plus haut niveau dans la hiérarchie française est. Sélectionné en tant qu'arbitre principal pendant le des à , il a depuis été sélectionné pour tous les évènements majeurs du football international, comme la ou le. Il a été élu meilleur arbitre de Ligue 1 au terme de la saison 2011-2012 , accompagné de ses assistants Eric Dansault et Frédéric Cano. En 2011, plusieurs arbitres de première division menacent de retarder volontairement les coups d'envoi des matchs de la 26 e journée du championnat, dont notamment — , décisif pour le titre de champion de France. Ils se justifient par les continuelles critiques reçues de la part des clubs lors des semaines précédentes et évoquant « le mépris profond des arbitres par tous les acteurs du football ». Face à la décision du Syndicat des Arbitres de Football Elite SAFE , la , en accord avec la , a procédé à la désignation de nouveaux arbitres de niveau , qui respecteraient les règlements de la Fédération. L' et son capitaine reçoivent à l'issue de la finale du , des mains du sous-secrétaire d'État à l'éducation nationale, M. Ducos, la coupe récompensant le champion de France professionnel. Il s'agit d'ailleurs plus d'un vase que d'une coupe pas d'anse. Ce trophée est offert par le journal. Lille conserve définitivement ce premier trophée et finance un nouveau trophée, différent du premier, mais toujours sans anse, qui reste en activité jusqu'en. On remplace juste la plaque mentionnant Le Petit Parisien après la par une autre au nom du. Toutefois, il n'exista que très rarement de véritables cérémonies de remise officielle. Au milieu des , la Ligue tente pourtant de rétablir cet usage. On se souvient ainsi de la remise du trophée aux à domicile contre l' en , et celle de l' à domicile contre le en 1997. Pour récompenser l' de ses dix titres, un « super trophée » est remis : il s'agit du trophée remis tous les ans au champion, mais à l'échelle 1,5. Avec le changement de nom du championnat, un nouveau trophée est créé : le. Une cérémonie de remise calquée sur le modèle anglais est également instaurée. Représentant de manière stylisée un torse, il est présenté pour la première fois au public le. Pour honorer l', cinq fois champion consécutivement, il fut décidé que le club le conserverait définitivement après le titre de. Le nouveau trophée — baptisé — est remis pour la première fois à l' à l'issue de la saison 2006-2007. L'affiche Depuis la mise en place d'un championnat en , certaines rivalités ont généré des « affiches » focalisant l'intérêt des et des médias. La première affiche du championnat remonte à la fin du XIX e siècle et opposa, de 1894 aux premières années du XX e siècle, les clubs parisiens du et du. L'effectif du Standard était principalement composé de joueurs britanniques tandis que les Clubistes étaient majoritairement français. Durant les dix années précédant la , c'est l'âge d'or des , avec la multiplication d'affiches mettant aux prises des clubs de la même ville. L' avait ainsi fort à faire au niveau local face au. De à , la Coupe de France est la compétition de référence et initie les premières rivalités régionales. La création du championnat professionnel en 1932 accentue cette tendance. La politique « un club, une ville », illustrée notamment par la fusion forcée des trois clubs professionnels de en élimine ainsi du calendrier les derbies internes à une même ville, et même ne dispose depuis , date de la relégation du , que d'un seul club parmi l'élite, malgré des discours convenus sur l'intérêt de mettre en place un deuxième grand club à Paris. Dès lors, les derbies régionaux s'imposent comme des rendez-vous incontournables du calendrier après. Ces rivalités, au delà de l'enjeu sportif, se font souvent l'écho d'antécédents historiques et sociaux entre deux villes voisines. C'est le cas du derby Rhône-Alpin, opposant Lyon, « la bourgeoise», à Saint-Étienne, « la minière » et nourrissant de nombreuses légendes entre deux clubs forts de 17 titres nationaux. On compte également le derby du Nord, opposant Lille à Lens, le derby de l'Est entre Metz et Strasbourg, de la Côte d'Azur entre Nice et Monaco ou encore le derby de l'Atlantique entre Bordeaux et Nantes. À l'image de la rivalité entre le Standard et le Club Français de la fin du XIX e siècle, des chocs émergent également du calendrier à la faveur des résultats tels qu'entre le et le de 1945 à. De même, le Stade de Reims remplace Lille comme rival du Racing durant les et. Le premier grand classique voit le jour entre et Saint-Étienne, qui rivalisent pour le titre du milieu des années 1960 au début des. Se partageant 15 championnats en 20 ans, les rencontres entre les deux clubs constituent le match au sommet de la première division. Cette hégémonie est entrecoupée au début des années 1970 par l'Olympique de Marseille, qui orchestrera par le biais de son président Leclerc, également directeur journal , les bases d'un second classique du championnat entre Marseille et Saint-Étienne. Dans les années 1980, les s'imposent en haut du championnat sous la direction de et l'opposition face à l'OM de , constitue à son tour un classique à la mesure des présidents des deux clubs. Suite aux déboires du président Bez, le PSG version devient le principal adversaire de l'OM, jouant sur une rivalité populaire entre Paris et la province. Au début des , le classique OM-PSG prend le terme hispanisé de « Classico » bien qu'il s'écrive avec deux S , et s'affirme comme étant l'équivalent français de la rivalité entre Barcelone et le Real Madrid. Avec la domination de l'Olympique Lyonnais dans les années 2000, un nouveau classique est médiatisé, toujours avec l'Olympique de Marseille et prend le nom controversé d'« Olympico » du fait qu'il oppose les deux « Olympiques ». Signes distinctifs sur les maillots Maillot AS Saint-Étienne champion de France 1976 avec liseré tricolore. Jusqu'au début des années 2000, le champion de France n'avait pas de signe distinctif sur son maillot contrairement à des championnats comme la italienne ou encore la anglaise. Néanmoins, certains clubs comme le des années 1960, l' des années 1970 ou encore l' des années 1990 avaient pris l'habitude d'arborer un liseré bleu blanc rouge sur le col de leur maillot. Cette tradition, qui n'avait rien d'officiel, a aujourd'hui disparu. En effet, depuis la création de la Ligue 1 en 2002, le champion de France est distingué par un écusson placé sur le haut de la manche droite de son maillot représentant un stylisé accompagné du nom du club ainsi que de l'année du titre. Pour les autres clubs, l'Hexagoal est accompagné du seul nom du championnat. Transferts Le transfert au montant le plus élevé réalisé par un club français dans l'histoire du championnat est la cession par l' de l'attaquant français au en pour une somme de 135 millions d'euros + 45 millions d'euros de bonus. Pour ce qui est des arrivées, le record national est détenu par le pour le transfert de l'attaquant brésilien en contre une indemnité de 222 millions d'euros , ce transfert est aussi le plus élevé de l'histoire du football mondial. Elle a une fonction de contrôle et dispose des moyens de sanctionner, notamment le pouvoir de rétrograder des clubs ou les interdire de promotions. La DNCG délivre ses premières sanctions de rétrogradation administrative en. Le président de la Ligue a également imposé des critères en matière de capacité d'accueil des stades, mais cette règle n'a jamais impliqué la relégation ou l'interdiction d'accéder à l'élite, les clubs concernés faisant le choix d'évoluer dans un autre stade que le leur plutôt que de refuser une accession. Économie du championnat Article connexe :. Selon le dernier rapport financier publié par la , le budget cumulé des vingt clubs de Ligue 1 était de 910 millions d'euros en 2005-2006, soit une hausse de 39 % par rapport à la saison 2002-2003. Grâce à cette solide croissance qui repose essentiellement sur une hausse importante des , les clubs français ont pu sortir de la crise financière quasi permanente depuis les débuts du championnat. Mis à part le , tous les clubs de l'élite présentent désormais des comptes équilibrés ou bénéficiaires. La saison 2005-2006 est même marquée par un bénéfice global pour l'ensemble des clubs de Ligue 1 de 27,708 millions d'euros. En comparaison, leur déficit cumulé était de 151,176 millions d'euros sur la seule saison 2002-2003. Cette dernière grave crise financière qui débute au milieu des avec la hausse des salaires imposée par des clubs comme le fait suite à une autre période difficile qui débute au début des et qui s'achève au milieu des. Au pire de la crise, la moyenne des spectateurs plonge à moins de 7000 par match en 1968-69. Après cette hécatombe, la Fédération et la Ligue, toujours en froid depuis , trouvèrent un terrain d'entente afin de sauver le football français de haut niveau : c'est la réforme des compétitions qui entre en application en 1970. Depuis , le championnat était fermé et aucune équipe ne pouvait descendre de D2 en CFA. À partir de 1970, ce dispositif n'est plus, permettant l'émergence de nouveaux clubs professionnels comme l' et l', parmi d'autres. Jusqu'aux , la quasi-totalité des recettes des clubs provenait des guichets. En 2005-2006, les recettes des vingt clubs de Ligue 1 proviennent à 57 % des droits télé et seulement à 15 % des guichets. La publicité a toujours été présente autour des stades mais apparaît sur les maillots des joueurs en octobre. Ce type de recettes pèse en 2005-2006 pour 18 % dans les budgets des clubs de l'élite. Les produits dérivés et les subventions des collectivités locales 3 % les complètent. Ces mêmes subventions représentent un quart des recettes au début des. Elles sont désormais sévèrement encadrées par la réglementation européenne. Chiffres d'affaires cumulés des clubs de Ligue 1 en millions d'euros, hors transferts Source : Rapports annuels de la DNCG 2000-2016 Le championnat et les médias Le championnat et la radio Avant la , les clubs n'autorisent pas les radios à retransmettre les rencontres en direct. Quelques rares matchs sont toutefois diffusés, telle la finale de la première édition du championnat, le. À partir de la , la autorise la diffusion de matchs du championnat en différé, une demi-heure après le coup de sifflet final avec des commentaires gravés sur disques. À partir de novembre 1937, les diffusions de matchs de championnat en direct deviennent quasi hebdomadaires. Radio 37 est la plus active en matière de diffusions. Pendant la guerre, deux matchs sont diffusés en direct le dimanche. Après la , les radios opèrent sans contrainte. Le Groupement interdit la diffusion en direct durant la première mi-temps en mars au prétexte que cela encouragerait les spectateurs à aller au stade. Les stations s'adaptent en attendant la fin de la première période pour en faire le résumé et enchaîner avec la diffusion en direct de la seconde mi-temps. En octobre , lance le multiplex moderne sans demander d'autorisation aux autorités du football au nom du droit à l'information. Le championnat et la télévision Article détaillé :. Les prémices 1956-1984 La première retransmission à la télévision d'un match du Championnat de France en direct remonte au. La rencontre - est diffusée par la contre le versement d'une compensation financière au couvrant la différence entre la recette du jour et la moyenne des recettes du club. Le parc est alors estimé à 700 000 téléviseurs en France. Le , une crise éclate entre le football et la TV à la suite de la diffusion sur la chaîne unique française de la rencontre -. La FFF qui n'avait pas donné son feu vert à cette diffusion bloque désormais toutes les diffusions. Les accords signés le entre la fédération et la RTF ne concernent pas le championnat, qui reste absent des antennes pendant quatre autres années. En , quatre matchs de championnat de D1 sont diffusés en direct par l' : Sedan—Bordeaux, Sochaux—Nantes, Angers—Valenciennes et Stade français—Sochaux. Red Star—Nantes et Sedan—Marseille en , puis sept matchs en AC Ajaccio—Sedan, Lyon—St Étienne, Rouen—Nantes, Nancy—Reims, Sedan—Metz, Bordeaux—St Étienne et Angers—Angoulême sont également diffusés en direct. Le , la rencontre Red Star—Saint Étienne est déprogrammée à la dernière minute par l'ORTF. Les clubs peuvent désormais arborer de la publicité sur leurs maillots, mais cette innovation déplait à la télé qui se refuse à diffuser des rencontres d'« hommes-sandwiches ». C'est le coup d'envoi d'une nouvelle période de crise entre football et télévision en France. Le a lieu la signature d'accords entre la FFF et l'ORTF sous la haute autorité du ministère de l'information fixant les diffusions de matchs de football. Les téléspectateurs français peuvent dès lors voir notamment quinze secondes périodes de matchs de D1 en différé pendant la saison 1969-1970. Les clubs repoussent cet accord et, à la suite de l'affaire Vittel la Ligue voulait imposer un sponsor unique à tous les clubs , récupèrent leurs droits de négocier directement avec l'ORTF. Le prix minimum d'un match de D1 est fixé à 120 000 F. Le , la diffusion en direct par l'ORTF du match de championnat de D1 Lyon—Rennes attire seulement 894 spectateurs payants. Cette affluence famélique signe l'arrêt de mort des retransmissions en direct des matchs de championnat. En septembre , la Ligue propose à de lui céder gratuitement les images des résumés de matchs pour créer un magazine hebdomadaire de football. Mais à la surprise générale, Antenne 2 refuse. Un an plus tard, la Ligue propose le même produit à , qui accepte, contre le versement de droits de 450 000 francs : c'est la création de le , proposant le samedi à partir de 23 heure les résumés des matchs de Division 1 terminés une heure plus tôt. C'est un grand succès et le prix du contrat atteint déjà trois millions de francs par an en. La télévision française abandonne alors progressivement sa politique de dédommagement pour payer désormais le spectacle football à son prix comme l'illustre le président : « Il n'y a pas si longtemps, le football était à genoux devant la télévision. Maintenant, celle-ci doit se plier aux règles du jeu. L'ère Canal+ 1984-2012 Suivant l'exemple de l'Angleterre qui diffuse à partir du des rencontres de championnat en direct, la France renoue avec ce type de diffusions le. Cinq jours après ses débuts, diffuse le match Nantes—Monaco. Canal verse 250 000 F par match pour ses 200 000 abonnés. Le prix monte à environ 320 000 F par match dès la saison 1984-85 après la signature d'un premier contrat de trois ans pour 25 matchs par saison. En fait, le montant des droits est indexé sur le nombre d'abonnés : plus la chaine a d'abonnés, plus les matchs coûtent cher. Après avoir plafonné durant sa première année d'existence, le nombre d'abonnés augmente très rapidement les années suivantes, permettant aux clubs professionnels de dégager des revenus toujours à la hausse en provenance des télévisions. Les droits pour un match passent ainsi de 250 000 à 2 millions de francs en cinq ans. L'inflation touche également le magazine Téléfoot : en , chaque numéro du magazine dominical est facturé un million de francs à TF1. Estimé en à moins d'1 % dans le budget des clubs de football professionnels français, les droits TV pèsent 23 % en. Canal+ n'utilise pas toutes ses possibilités en matière de diffusion lors de la période 1985-1993. Ainsi, en 1985-86, seulement 15 matchs sont diffusés dont 9 en différé. Depuis , Canal+ diffuse à l'occasion de chaque journée de championnat au moins un match en direct. Le , une filiale de Canal+ propose la diffusion de la première journée de championnat de France en mode. Depuis cette date, tous les matchs de championnat de France de Division 1 sont diffusés en direct par la télévision française. En profitant de la mise en place d'appels d'offres, parvient à briser le monopole de Canal+ en obtenant les droits pour diffuser un match en direct lors de chaque journée. Les revenus TV couvrent alors en 50 % des budgets des clubs professionnels français. Canal+ fait main basse sur la D1 en mettant en avant une offre élevée 480 millions d'euros par an , mais aussi son antériorité. Tous les matchs sont concernés par des diffusions cryptées trois matchs par journée ou en pay per view les sept autres matchs de la journée. TF1 conserve Téléfoot mais perd la possibilité de diffuser un match en direct lors de chaque journée ce que le groupe faisait sur la chaîne. Les montants financiers en jeu 530 millions d'euros par an sont en hausse de 40 % par rapport au contrat précédent 380 millions par an. TF1 n'admet pas cette défaite et contre-attaque. À sa demande, le suspend le contrat le puis autorise finalement en août une situation de monopole. Ceci signe l'arrêt de mort du groupe satellite qui sera absorbé par le groupe Canal+. Le 30 mars 2007, la donne les droits du magazine dominical pour une année à qui crée alors. TF1 continue Téléfoot, désormais consacrée au football étranger. Cette même année, un appel d'offres pour quatre saisons est lancé par la Ligue. Malgré des protestations de Canal+ qui assigne même la LFP en justice, et les augures de chute importante des droits, ces derniers se maintiennent globalement au même niveau. Canal+ laisse partir chez l'une des trois affiches par journée comme ce fut le cas avec TPS, mais récupère les droits pour le magazine dominical. France 2 Foot disparait, nait. Orange débourse alors 203 millions d'euros par saison et Canal+ 465. Remise en cause du monopole depuis 2012 Détenant la majorité des droits sur le championnat, s'investit dans le football hexagonal en rachetant des droits pour la Ligue 1. Elle diffuse le match du vendredi à 20 h 45, cinq matchs le samedi à 20 h et deux matchs le dimanche à 14 h et 17 h, pour un montant de 90 millions d'euros. La chaîne a également acheté une partie des droits de diffusion, en France, de la et de la , de 2012 à 2015. En effet en plus de ces 2 premiers choix Match du samedi 17h et du dimanche 21h , elle sera prioritaire pour une troisième affiche vendredi 20h45 et non plus 20h30. Le gain de ces deux lots permet également à la chaîne cryptée de conserver ses magazines «Jour de foot» et «Canal football club». De son côté Bein Sports rafle le lot3, soit les 7 autres matchs en direct. Soit les 5 match du samedi 20h, et les deux matchs du dimanche à 15h au lieu de 14h et 17h. Elle hérite également de 12 co-diffusions avec Canal + d'une deuxième affiche. Les trois derniers lots offrent à la chaîne thématique trois multiplexes, le «Trophée des champions», un magazine quotidien en semaine et la possibilité de diffuser des extraits en quasi-direct. La LFP empoche la somme record de 727 millions d'euros. En 1999, la chaîne , seul diffuseur du championnat depuis 1984, verse 700 millions de francs. Avec l'arrivée d'un concurrent à Canal+, , les droits augmentent rapidement jusqu'à atteindre une moyenne de 600 millions d'euros par an pour la période 2005-2008, une somme qui apparaît alors comme très élevée ,. Avec l'arrivée d' sur le marché, le montant des droits atteint un total de 668 millions d'euros par an pour la période de 2008 à 2012 ,. Après une baisse à 607 millions d'euros de 2012 à 2016, due notamment à la disparition de et au retrait d', la nouvelle concurrence liée à l'arrivée de sur le marché français permet à la LFP d'obtenir 748,5 millions d'euros pour la période 2016 à 2020 ,. En 2006, sur les 600 millions d'euros versés par les diffuseurs, 430 reviennent aux clubs de L1, 101 aux clubs de , 30 à la taxe pour le sport , 20 à la LFP, 12 à la et 7 à l'. Audiences Le record d' sur est détenu par le match Marseille-Lyon du , vu par 2,93 millions de téléspectateurs. Le record précédent était codétenu par les rencontres Marseille-PSG 1991 et Lyon-Marseille 2008 avec 2,91 millions de téléspectateurs. En , le record d'audience est détenu par la rencontre Marseille-Bordeaux du 2,5 millions devant le Marseille-PSG du 2,4 millions , Lyon-Bordeaux du 2,1 millions et le prolifique Lyon-Marseille 5-5 du 2 millions. Supporters bordelais lors de la finale de la. Le football entraîne un vaste mouvement de soutien populaire souvent inconditionnel que l'on peut nommer comme « phénomène des supporters ». Les fans d'un même club peuvent s'organiser en mouvements appelés groupes ou associations de supporters. Les supporters ont un rôle déterminant dans le financement des clubs, l'animation des stades et permettent aux joueurs de donner le meilleur d'eux-mêmes sur le terrain. Le surnom de « douzième homme » n'est pas usurpé. Ils représentent également une forme de contre-pouvoir face aux dirigeants. Avant , des déménagements de clubs sont tentés par certains dirigeants à la recherche de meilleurs « marchés », mais c'est sous la pression des supporters contre ces actions purement mercantiles, après la fusion controversée du première version avec le que ce genre de manœuvres a tout simplement été interdit. Fumigènes chez les lors du match -. Les touchent principalement les supporters. Les et autres affiches de gala constituent des rendez-vous importants pour les fans qui rivalisent alors dans les domaines du chant ou de l'animation des tribunes et parfois de la violence pour prendre un ascendant sur les supporters rivaux. Les rivalités les plus spectaculaires sont en France celles opposant l' ou entre l'. On distingue plusieurs niveaux d'implication chez les supporters. Il y a tout d'abord les occasionnels qui se rendent ponctuellement au stade de leur équipe favorite de façon autonome. Certains vont regarder les matchs dans des ou des qui les retransmettent à la. Viennent ensuite les abonnés au stade, qui assistent à tous les matchs à domicile de leur équipe favorite. L'importance de ces différentes catégories relatives à un club particulier dépend de plusieurs facteurs dont le palmarès du club considéré et du degré d'engouement local pour le football. Les groupes de supporteurs, officiels ou non officiels, sont des de supporters créées afin d'organiser les encouragements. Enfin, parmi tous ces groupes de supporteurs, ceux les plus influents sont certainement les « », parfois assimilés aux , la distinction entre les deux résidant principalement dans l'usage de la , caractéristique des seconds. Dès les premières éditions du championnat, les clubs sont soutenus par des fans clubs et des supporters vedettes. Citons ici pour l'exemple et à l'OM, à Sète, et à Rouen. Et dès avant la Seconde guerre mondiale, le débat est vif sur le chauvinisme de certain supporters et notamment leurs rapports avec l'arbitre et l'équipe adverse. Cette question est posée annuellement hormis en 2006 et 2008 et l' occupe constamment la première place. L' et le alternent en deuxième ou troisième position suivant les années. Sur cette période 2004-2012, l'indice de popularité semble dépendre principalement des résultats sportifs du club. Lyon remporte sept championnats consécutifs de 2002 à 2008 et voit passer sa côte de sympathie de 8 % en 2004 à 17% en 2007 avant de retomber à des niveaux autour de 11-12 % depuis 2009, année qui coïncide avec la fin de son règne. L'IFOP parle d'un « effet vainqueur » qui augmente la cote de popularité l'année d'un titre ; , ou en sont des exemples. Ceci est particulièrement vrai pour les Girondins de Bordeaux en 2009 et le Lille OSC en 2011 qui connaissent chacun une augmentation de 7 %. Dans la foulée de son titre 2009, cet « effet vainqueur » permet également à Bordeaux d'occuper la 3 e place en 2010 au détriment du PSG à la suite d'une qui l'a notamment vu atteindre les quarts de finale de la après avoir terminé premier de son groupe devant deux clubs de renommée internationale que sont le et la. Dans le même temps, l'image de Paris se détériore avec le passage à tabac entrainant la mort d'un supporter parisien par d'autres supporters parisiens en marge d'un. L'OM et le PSG présentent une base solide de sympathisants et semblent être des exceptions à ce principe de popularité liée aux résultats sportifs. Le club marseillais connait une cote de sympathie variant entre 18 et 25 % et son ne lui offre aucune progression par rapport à l'année précédente. À l'inverse, la qui voit le club ne remporter aucun trophée majeur ne l'empêche pas de se classer en première position de 2004 à 2009. La cote du Paris SG oscille entre 10 et 13 % avec un creux ponctuel à 6 % en 2010 à la suite de violences entre supporteurs. Le club de la capitale connait deux saisons consécutives en et où il lutte pour ne pas descendre en et, comme pour l'Olympique de Marseille, ces résultats sportifs en l'occurrence décevants ne provoquent pas de modification significative dans la sympathie des Français. Hormis l'OM, l'OL et le PSG, l'ensemble des autres clubs ne jouit pas de cote de popularité extrêmement haute de manière constante inférieure à 3% et seuls l' et le disposent d'un ancrage local conséquent sans pour autant dépasser les 5% à l'échelle nationale. À la demande de , le PSG, deuxième, n'est pas désigné champion. Mais étant donné que la quatrième place est déjà qualificative pour la Ligue Europa, le quatrième abandonne le ticket européen de la quatrième place et le réattribue au cinquième de Ligue 1. Sutton, 2002 , p. Voir sur cette affaire, et , OM-PSG, PSG-OM. Les meilleurs ennemis, enquête sur une rivalité, Paris, Mango Sport, 2003, p. En 2006, fait mieux qu'Auxerre et Marseille tandis qu'en 2008 le va plus loin que Rennes. Sport et société en France 1880-1980 , Paris, Gallimard-Julliard, p.
À partir dele marché étranger ne sera plus jamais interdit aux clubs français. Les clubs en gras indiquent les succès en si, le reste correspond aux défaites subies en finale continentale. Le détient le record de longévité en Ligue 1 avec 45 saisons consécutives. Ou encore que l'Olympique de Marseille devrait être le dauphin du PSG et que Troyes aurait certainement dû se sauver en Ligue 1 aux dépens du Xi Malherbe de Caen qui s'est vu accordé neuf points de trop. A l'inverse, Angers, Bordeaux et surtout Guingamp, qui n'a toujours pas inscrit de point, ont pris les plus mauvais départs et figurent en queue de classement. Il était de 16 jusqu'en 2010. Une saison du championnat con en et se termine au suivant. Cependant, les hommes de Bruno Genesio devront aller à la victoire sans leur joueur fétiche, Nabil Fékir. À l'issue de la saison 2017-2018, le championnat de France est classé au 5 e rang UEFA, derrière l', l', l' et l'. Ce doublé est le deuxième de l'histoire classement rencontre ligue 1 Dogues après celui de la saison 1945-1946 et le seizième de l'. Zip le foot en direct : Résultats Foot, toute l actualité des championnats de, france de football de, l1 et de, l2, les coupes nationales et l ensemble du foot étranger.

Share