[PDF] Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au p

06 June 2024

Views: 55

Livre Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Télécharger le PDF - Kamel Lakhdar Chaouche

Télécharger eBook gratuit ➡ http://filesbooks.info/pl/livres/80347/887

Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ?
Kamel Lakhdar Chaouche
Nb. de pages: 301
Format: Pdf, ePub, MOBI, FB2
ISBN: 9782360930630
Editeur: VA Editions
Date de parution: 2020

Télécharger ou lire en ligne Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Livre gratuit (PDF ePub Mobi) pan Kamel Lakhdar Chaouche.
Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche PDF, Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche Epub, Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche Lire en ligne , Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche Audiobook, Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche VK, Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche Kindle, Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche Epub VK, Algérie, procès d'un système militaire - L'armée appartient-elle au peuple, ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? Kamel Lakhdar Chaouche Téléchargement gratuit

Overview
"L'armée appartient-elle au peuple ou est-ce le peuple qui appartient à l'armée ? " Comment l'Algérie qui a défié la puissance coloniale française a-t-elle pu sombrer dans le chaos des années 1990 ? Pour répondre à cette question, il faut remonter le temps pour situer la dérive : celle de la primauté du militaire sur le politique et la confiscation de l'indépendance par l'armée des frontières. Le coup d'Etat contre le GPRA, durant l'été 1962, ouvre une série de violences dont a été victime la volonté populaire et la véritable légitimité historique. L'armée des frontières, qui prendra le pouvoir, étouffe alors la vie politique, fait taire les divergences, écarte les récalcitrants et élimine les opposants. C'est ainsi que les véritables héros de la Révolution algérienne seront emprisonnés, exilés ou assassinés. Leurs noms seront bannis de l'histoire officielle, laquelle sera dédiée à la gloire des nouveaux maîtres d'Alger. Mais la société évolue et les contradictions feront éclater le vernis qui cachait la triste réalité algérienne. Le modèle socio-économique et politique n'arrivait plus à contenir les aspirations des masses à plus d'égalité, de liberté et de bien-être social et implosera en octobre 1988. La révolte du peuple sera détournée à des fins de luttes de clans et de recomposition du régime, au prix de répression et de privation. Le noyau dur du système, l'armée, fera sombrer le pays dans le chaos et la guerre civile. C'est désarmé et résigné que le peuple assiste le 29 juin 1992 à l'exécution en direct, sur la télévision, du président Mohamed Boudiaf, l'un des pères de la révolution algérienne. Cet assassinat politique finira par enlever tout crédit à l'armée qui prétendait sauver le pays du projet moyenâgeux des islamistes et plongera le pays dans l'épisode le plus sombre de son histoire contemporaine. Après une décennie de guerre civile s'ensuivront les 20 ans de malédiction de Bouteflika dont la fin de règne inaugure une nouvelle confrontation entre le peuple et l'armée, incarnée par Ahmed Gaïd Salah, un rôle difficile à tenir pour "un héritier par défaut" du "Système".

Share