La rencontre avec lautre lamour lamitié lele

22 December 2018

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MANU PAYET GÉRALDINE NAKACHE RENCONTRE

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Dmarque des milliers de. En donnant cette direction à l'instruction des femmes , on se conforme en effet à la nature dé leur sexe; on ajoute même, s'il est possible , au charme et à la puissance de la beauté , comme Ta bien senti Laharpe, lorsque dans le passage sui- vant de son épizode de Vénus et d'Adonis , il nous montre , avec autant de raison que de poésie , la déesse des amours forcée de recevoir des muses le moyen d'assurer son empire. Cela veut dire qu'on n'a pas de coeur,qu'on se fiche pas mal de ce qu'on leur fait partout dans le monde,qu'on est complètement indifférent à cela et qu'on les tue ou pas,qu'on les respecte ou pas, ça ne nous importe pas.

Je ne peux pas envoyer des invitations sur facebook alors vous pouvez m'envoyez sil vous plait vous tous qui êtes mes contacts par email et pas sur facebook? Experts de 20 janvier 2013. Bruegel l'Ancien, dans le tableau appelé Le combat de Carnaval et Carême, représente, au 16e siècle, cette bataille entre Charnage appelé cette fois Carnaval et Carême. Toutes les lettres écrites par le général ou les personnes de sa suite , seront sçumises au même règlement.

MANU PAYET GÉRALDINE NAKACHE RENCONTRE - Sculptée par un livre le grand. Gentrile pour c rehausser Jéclat des cérémonies:..

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Copyright infringement liability can be quite severe. About Google Book Search Google's mission is to organize the world's information and to make it universally accessible and useful. Google Book Search helps readers discover the world's books while helping authors and publishers reach new audiences. Digitized by Google RECUEIL PIÈCES OFFICIELLES DESTINÉES A DÉTROMPER LES FRANÇOIS SUJl LBS ÉviNBMENS QUI SB SONT BASSES DEPVU QUELQUES ANNÉES. SUITE DES PIÈCES RELATIVES AUX ÉVÈNEMENS DE l8l5. La nourelle du débarquement de Buonaparte arriva à Strasbourg, le 8 mars , par la voie du commerce- L'opinion publique considéroît celte i Ce récit est tiré «des rapports officiels de deux personnes y dont Tuneoccupoit une place à Strasbourg au mois de mars dernier, et dont l'autre a fait , à la même époque, un séjour dans cette ville et dans scf TOME VI. Toutes les autorités civiles et militaires s'empressèrent de se rendre chez ce commandant, dans l'espoir de connoître par sa bouche la vérité sut ce qui se passôit. Le maréchal recul tout le monde avec un froid silence, se bornant à répéter, à chaque question qu'on lui £s isoit , ces mots : Lisez le Moniteur; il vous mettra au courant! C'étoit celui du 9 mars, dont il étoit porteur, et qu'il avoit placé sur une tablé de âon salon : ce même numéro arriva le lendemain la à Strasbourg par le courrier de Paris. Cette copduite du gouverneur de l'Alsace commença à donner des soupçons à ceux qui observoient dans le silence ses démarches , ses paroles et jusqu'aux gestes qui lui échappoient. Cependant Vesprit de parli ae développa à mesure que Buonaparte avançoit. Le i3, pon- dant qu'on étoit au spectacle, on reçut la. Alors les café« et tous lès lieux publics devinrent lea arènes où les passions se montrèrent à découvert. Les autorités y foibles ou corrompues , fermèrent les yeux sur tous les excès , et ne prirent aucune mesure pour les faire cesser. Au nom de la nation Dejofy au bas se trouTC apposé le sceau de l'état. L'assemblée a ensuite adopté la délibération qui se trouve ci-aprës. La séance a été levée. Roland y de Tacte du corps législatif , relatif à la suspension du pouvoir exécutif , a été continuée. K 3 Digftized byCjOOQlC pour le Roî. La caserne dite de. Il sera bon de signaler les ma- nœuvres qu'on emplojfoît pour poussa des cris séditîeu? Les soldats qui oc- cupoient. L'auteur d'un des rapports d'où nous tirons ce récit, se chargea de yoir le maréchal. En oou- Digitized by VaOOQlC a8. N'ayant pas en le temps de prendre des informations sur ce général , le rapporte» n'osa se confier à lui, et ne hû donna que des ren- seignemens vagues et insîgnifians. Le grdnd parc de y. Ill pik Miêi «m tfutrt géfién4. Le 3o, Farmée ne fit point de mouvement. On reçut la confirmation que le général Rapp. En conséquence, toute s6n : «utuée. Nous entrerons à Paris pour protéger les honnêtes gens contre le pillage dont le menace la populace. A Paris seul un ar- mistîce petit étte conclu avec sûreté. Voua ne voulez pas , M. Je vous fais observer aii reste j M. Votre dévoué No XCII. Qn à vu raroment un vaste pUisi politiquo Digitized by Google 58 exécuté avec autant de concert, d'activité d de succès par tous ceux qui Font formé,, que celui dont les évènemens militaires et politi- ques des trois derniers mois présentent le dé- veloppement. Personne n'a imaginé de croire que son apparition auroit une influence du-;- rable. La paix de l'Europe étoit établie; 1 in- vasion de Buonaparte étoit plutôt un désordre de police , qu'un bouleversement politique de la tranquillité générale ; c'étoit la première occasion solennelle où tous lea étals de l'Eu- rope étoient à même de niontrer qu'ils for- moient de nouveau un même èorps bien uni. Leur ennemi commun, trop foible pour ren- verser un ouvrage appuyé sur des bases aussi solides, étoit encore assez fort pour causer quelque temps des maux incalculables. L'ennemi fut forcé d'abandonner cette posi- tion , parce que le comte de Bubna envoya dans le même temps une colonne par la mon- tagne sur son flanc droit. Elles furent attaquées de nouveau! Elles arrivèrent néanmoins à Pàrîs. J'ai bjpajicoup 4e plaisir à infprmer. Tout maurais traitement , toute réquisition sont sévèrement défendus. Le cortimandant général pourvoira seul à l'entre- tien des troupes par le ministère des autorités compétentes. Continuez de vous montrer dignes du nom suisse par un mile cou- rage au moment du danger, et par votre con- duite loyale envers les habitans non armés et sans défense , que vous devez considérer comme des amis. Vous avez justifié les cspérapces de S. Un détachement de lavant-gUrde du. Le 29, le F. Dans, ces contrées , peu de troupe» peuvent tenir tefe à une armée entière. Pendant ce temps 9 le F. Aadivojewich avança avec la seconde colonne. Le général Fœlseis étant parvenu au point du jour près des redoutes des Rousses , ordonna Tattaque. L ennemi né toit pas resté inactif. En même temps Tennemi fit une sortie, de toutes les redoutes, et s'avança avec beaucoup d'intrépidité. Le général Fœlseis profita de ceUe circons- tance avec autant de prudence que de courajge, pour faire prendre par sa cavalerie la colonne en flanc. Le corps de réserve sous les ordres du F. Je neinaegtokerm pas ;idît S. J'attends de tous tous its efforts , tous les sacrifices i{W les cir- constances demandent. Le prfjc en est tout prête une paix solide, et le gouvernement paDemel qui û garantit. D'Atonus, MitiSitre de larmëe de S. On a évalué Celui de çnaque ofôcier de tout grade , y conipris celui de général-majèr , à i fl. Le général Dubois , président ; Steck , directeur des droits réunis ; Haudry de Soucy , conrmissaire spécial des salines ; Aubusspn , inspecteur général des vivres ; Grandppé , commissaire principal de la ma-r rine. Expédition du présent arrêté sera adressé à M. Cette commission devra faire restituer aux particuliers les goudrons et autres objet! Naâ pensé à lia retnite. J'ai rhonneur de vous saluer avec estime et considération. Sera considéré rassemblement toute réu- nion au-dessus de qtMite personnes. Le présent arrêté sera imprimé danài les deux biUgueâ , publié et affiché dani l'intérieur de la irille et des faubourgs. Le comte de Hogenuorf. J'ai l'honneur de vous saluer avec consi- dération. Le général de division. Agréez , je vous prie, M. La commi Ssion formée par rarrêté de S. Vmache, qu'il est responsable de lexécùtion de ces mesures, quelles sont de rigueur , aiûsî que les époques. J'ai lliontaeur de vous saluer avec respect. Vous ordonnerez que les arbres qui ont été coupés soient Tendus, pour faire face à une partie de cette dépense. Recevez , monsieur, l'assurance de ma con- sidération distinguée. Le général chef de l'état -major du trei- zième Corps. Le préfet du département des Bouches de ïElbie, auditeur au conseil d'Etat, chevalieft de l'ordre impérial de la Réunion, baron de l'Em- Vu les ordres de S. La i;nême injonction est faite sous sembla- ble peine, à tous les autres habitans du terri- toire de Hambourg, dont les maisons ne se- roient pas situées à six cents toises du Stem- Schanze. Fait à Hambourg, le 30 décembre 181 3. J'ai rhonneur de vous saluer avec une par- faite considération. Lettre du préfet au maire de Hamèourg. Mes incertitudes à Cet égard sont actuellement fixées. En effets d après letat anneié au décret rendu par S. J'ai rhbnneur de prier V. Lettre flu préfet au mairie de ETtimhourg. Le prince, ainsi qile M. Le général de division, Thiebàult. Jjgitized by Dy Google. NAgrée:s l'expression de la considération la plus distinguée,. Lettre, du général Loison au préfet. Hambourg,, le i5 avril i8i4« M. LE Baron, Jly a beaucoup de nos hôpitaux qui ne sont pas suffisamment pourvus du nombre d'infir- miers qui leur sont nécessaires. On a été dans Tobligation d'employer des femfïies, dont les soins Talent mieux, maïs qui n'ont pas la forcé lïécessaîre de supporter les fatigues attachées à l'état d'infirmier. Les officiers de tous grades qui sonjb en sta- tion dans des places , telles que Brème , etc. Au moyen de cette indemnité, on ne pourra, sous aucun prétexte rien exiger de l'habitant. Les sommes nécessaires pput acquitter cette dépense , ne pourront être , dans aucqn cas , prises sur les contributions dues au gouverne- ment ; cela devra avoir lieu par un arrangement avec les particuliers et les autorités civiles. L'expérience a prouvé à M. Lettre du général de la Ville au préfet. J'aî-rhonneur de vbus prévenir que M. Demi-ïciùraitiires ou i paillasses. Elle VoUs prie de Kiire observer aussi au Consul que les autorités danoises ne peuvent se nlettre trop eti gafde cpntre ces sortes de réclamations ; l'exemple de M. J'ai Mionrieur de vous saluer aVec Une cén- èidératioii distinguée. Lettre du préfet au maire de Hambourg. Pressez davantage , usez de rigueur, doublez les gamisaires , proposez-moi d autres mesures à prendre contre les retardataires; enfin faites rentrer des fonds, il nous en faut absolument. Le général Koller promit à TEmpèreur que l'on se conformeroît à ce qu'il désiroit, sur quoi l'on fixfi le départ au 20. Le 19, l'Empereur avoit fait venir le duc de Bassano et lui avôit dit : « On vous reproche que « yous m'avez tou j ours empêché de faire la paix; « qu'en dites - vous? Depuis la campagne de Russie, il n avoit eu en Tue d'autre paix que celle que les alliés avoient proposée à Francfort. » La vérité est que dans cette journée il en avoit eu un blessé iégèrement. » Quand nous passâmes risèce en bac. Napo- léon vint tQut. L'on n entendit plue an seul iijW ifEptpeteur. En en- trant nous trouvâmes dans une mauvaise cham- bre ce ci-devjU9ttdartiinateur du monde absorbé dans ses pensées et assis la tête appuyée sur la mtain. Nous entrions et sortions, et , souvent le trouvions en pleurs. Quand on étoit sur la route , il recommençoit la conversation. Le voyage l'avoit épuisée y mais elle conservoit toute sa vivacité. Le ¥wi de la. Nous ttouyàmes à Fréjus le colonel Camp- bell. Le capitaine de la frégate françoise , choqué des termes de mépris employés par l'Empe- reur , retourna à Toulon avec son bâtiment et avec le bricq. Qxxû parti Digitized by Google ao8 j'en auroîs tiré! Il pria celui-ci de présenter ses hommages à Tempe- reur Alexandre. On lui rendit loua les honneurs militaires, et il futréçu à bord par un salut de vingt-quatre coups de canon, il n'y en avoit néanmoins aucun qui lui fût destiné. Deux heuresi après , la frégate appareilla. Ces députés trouifèrent les Elbois dans ime anarchie complète. Si notre route hous eût. ~k desseinr; Xi'kst ce qiiilviie! Quoique le général Régnier ne fil aucune attention à Torgau , le gouverneur ne devoir pas moins , conformément à la politique de sa cour, prendre en grande considération les ordre3 des François. Mais , on se demande , quel servi- TOME VI. Les intérêts de la France et de la Saxe , relalî- Temént à la place de Torgau , étoient diamé- tralement opposés. Enfin, le maréchal Davoust ayant essayé de mettre garnison fran- çoise à Torgau, le gouverneur put s'y refuser, comme y étant autorisé par sa cour, et reçut k cet égard l'approbation du Roi par écrit , et conçue dans les termes les'pluç précis et les moins équivoques. » Prague , 5o avril 1 8 1 5. Le détachement de grenadiers de la garde , la brigade de cuirassiers y et les dépôts d'infanterie, de cavalerie et d'artillerie me sui- vront, le 2ï , pour aller , par Çilsen , à Praguei. Voici cette lettre : fc Mon cher lieutenant - général baron de Thielmann , quoique je vous aie , par ma dé- pêche dû 19 du mois précédent, déjà fait con- noltre en général que ma vojionté est que la place de Torgaii , qui vous a élé confiée, ne puisse être ouverte que sur mon ordrfe , de concert avec S. L'annonce de l'arrivée de l'Em- pereur Napoléon à Dresde décida même les généraux qui commandoient sous le gouver- neur, à manifester des intentions contraires aux siennes. Digitized by VjOOQIC LISTE DES OBJETS D'ART ET DE CURIOSITÉ Çtti, en 1806 et 1807, ont été enhtfés des États des S. Oir a dressé cette liste en réunissant les rap- ports des chàtellains ou concierges des'chàteaux royaux, les reçus délivrés par M. Ce fut principalement le château dç Berlin qui tenta layidité des agena de Buonaparte. Objets fart enlevés du musée Kunstkanamer de Ber- lin , et pour lesquels il existe des refus signés par M, Denon. AIITIQUZB BK MÀRBBS; BAOKZÏ ET fSBliS CVITÈ. IJ NS Statue de Trajaa, tiers de grandeur naturelle , marbre de Paros. Le buste d'un Empereur romain , revêtu d! Uh Faune y portant une outre , de marbre blanc , d« 3 pieds 6 pouces. Le buste d'un Empereur romam, en marbre' blanc , revêtu d'une draperie en vert antique. Le buste d'un Prêtre de Bacchus, Le buste colossal d'flevcttle y Titus , buste , en marbre noir. Isis , buste de basalte. Bacchus et une Bacchante , bustes. On avoît sauvé la plus belle partie de la col- lection de pierres gravées du roi de Prusse; savoir, le cabinet de Stosch. Yingt-sept autres du quinzième siècle on modernes. Cinquante-cinq cançiées du quinzième siècle; Une grenouille d'améthyste. Un hibou en émail. Quatre-vingt-treize camées de lapis lazuli , parmi les- quels il y en a un de 5 pouces sur 5 pouces et demi, représentant la Musique , et un autre de 2 pouces et demi sur 2 , représentant Lucrèce , Tun et Vautre du quinzième siècle. Indépendamment de ces quatre cent cinquante-cinq pièces, on prit encore : i ' Un jaspe, où est représenté le saint Suaire, Une bagne ornée de lapis lazuli , tjne coquille en camée. Quarante-six petits camées de peu de valeur. Six turquoises non taillées, Deux hyacinthes brutes. Six camées du quinzième siècle. Ustensiles et meubles en ivoire. Un grand vase avec i. Autre bocal avec bas-relief, représentant une bataille. Autre , représentant une bacchanale. Autre , représentant un combat. Deux tabatières, dont les bas -relief représentent un combat et d'autres jeux. Une botte ronde fabriquée dans l'Inde, représentant dès Baïadères, avec une serrure indienne. Un livre orné de bas-relie£s , qui représentent Gléo- pâtre et un hermaphrodite. Un couteau, dont le manche représente une fei;nme en costume gothique ; Tétui porte ta date de i584. On sait que l'ambre jaune se trouve sur les cotes du royaume de Prusse, où il est recueilli pour le compte du Koi. Les objets enlevés sont : Une armoire à seize tiroirs , ornée de décorations d'architecture. Autre armoire octogone à qaatre compartimens. Antf e armoire y ornée de décorations iVarchitecture et de sculptore. Autre petite armoire , ornée des portraits du Grand- électeur et de son épouse. Deux bouteilles carrées, ornées de reltejb. Une autre plus petite. Une caisse octogone ,avec des arabesques en hautHrelief. Un bocal, avec couvercle, orné de dix figures. Un lKK5al , orné de huit médaillons. Une tasse en forme de coquille , ornée de figures d'en- fans et de Tritons. Deux calices ornés de couvercles et de gravures en creux. Deux tasses ornées de huit bas-reliefs et de fruits. Une tasse en forme de coquille : on y voit nn dauphin portant un enfant. Autre tasse d'ambre brun , sans ornemens , avec deux anses. Vue corne k po. Une boîte rpnde d'ambre brun. Trois vases ornés de bas-rfeliefs, représentant ' des eu fans et des fusils. Quatre morceaux 'd'ambre renfermant des insectes. Indépendamment des objets qu'on vienlj de détaïUec, M. Un autre du même genre, brodé en cheveux et eu petites perles. Un autre de plumes de canard, brodé avec des poils de chèvre. Un calumet de paille. Indépendamment de tous cçs objets enlevés par M. Un bracelet de la reine Sophie-Charlotte. Deux petits visages en ivoire , chacun de la grandeur d'une lentille. Très-petite boîte d'acier, renfermant une antre de la grandeur de deux lignes, dans laqueUe se trouve un cachet aux armes de Brandebourg de la grandeur d'une lentille. Carte de la Silésie , de a pouces carrés ; souSrVerrt. Digitized by V3OOQIC u54. Dix statues antiques de marbre de Parcs et de Carrare , de grandeur naturelle , connues sous le nom de groupe de Xycomëde : ce sont probablement ApoU Ion et les Muses. Elles proviennent de la maison de campagne de Marius à Tivoli. Ce groupe a été rendu avant d'avoir été exposé à Paris. Il avoit été placé dans le tem,ple des antiques à Sans-Souci. Les trois statues précédentes étoient placées dans la galerie des tableaux à Sans-Souci. Mercure, de marbre de Carrare, S. Une Victoire, 2 pîeds 6 ponces. Isis, de basalte 9 sur un piédestal blanc , i P. Un masqué coVnique,dé marlhrié Mand , 2 P. Un Consul inconnu , 2 P. Indépendamment des objets ci-dessus, M. Denon enleva encore du palais royal de Berlin trois statues modernes , savoir : Une Naïade coucîhée , ouvrage de Hegemann , en mar- bre blanc. On enleva encore des petits appartemens de Berlin Un buste de Frédéric II, exécuté en marbre bianc , par Bettkober , sans que M. Denon en donnât reçu. Portrait d'un cardinal , sur boîé. Le nom du maître se lit sur les boutons , haul. Vénus et Adonis, sur toile, haut. Ce sont les seuls 6. « ,1 d'Albert Durer , qui 7. £attonL Les Noces de Psyché , sur toile , hau- teur 2 p. Ce tableau, que M. D«non avoit pHs pour lin tue Cranach, a été Tendu, mais entièrement abimé. Digitized by Google 36a fiotni è»9 ratiUrês, 1 1. Ce ta-» bleau a été restitué abîmé, { 14, t7ôM. Digitized by Google 265 Woms 4e» m«t ref. ~ La HMUàtâe Stléartneè. Pierre, sur toile, haut. Geratd Dow, Tête de vieille femme, sur hois, haut, g P. Jacques d'Hujrtenburg, Paysage sur bois. Ce tableau a été abîmé par le transport. Digitized by Google 366 Komi lârg. Napoléon avoit fait placer cc tableau au grand Trianofi. Adrien van der fferff, Dea bergers arcadiens. Ce tableau a été transporté à Fontainebleau. Ce tableau a été transporté à Fomainebleau. I pied ,10 ponces. Du château de Potsdatn, I. Denon , à la bibliothèque du iihu £n les remettant à MM. On remarqua de plus que les objets çuivans avoient été volés. Kjné Vénus couchée, d'albâtr«. Indulgentia in ecclesia b. Mariae Virginîs Aquif- granensis promulgatar', mense apr. Friderico II faclam , et ab imp. Ru- dolpho I confirma tain de novo confirmât , d. AqoisgranéDsibus a regîbus Feaii- corum Garolo et Heiirîc concessoram , de , an. Martini V , Pont. Alexandi IV , Pont. Martini Goloniensis , et S. Digitized by Google C 285 y 75. Caroli ly y Imp. Digitized by VaOOQlC 384 K. Maujbrawd, Commissarius ut supra. Aix-la-Chapelle , le 7 brumaire an 12. £x mandato Suae Excellentiœ, amplissimi domini Sacky regiae Majestatis Borussiae consilîarii intimi, nec non prôvinciarum inferioris Kheni gubernatoris gène- ralis , hanc cum suo original i concordantem copiam expedivi. Je désira que VV. Le général doit toujours être accompagné par un officier désigné par l'amiral, ou , si c'est -le cas , par le gouverneur. Si Ton permet au gé- néral de sortir de Tenceinté où les sentinelles sont placées , l'officier sera suivi par une or- donnance au moins. Ceux qi i rac- compagneront à Saipte-Hélèû! Toutes les lettres écrites par le général ou les personnes de sa suite , seront sçumises au même règlement. L'amiral est autorisé à garder le général à bord ou à le rembarquer, si la sûreté de sa personne ne peut pas , dans soin opinion , être garantie d'une autre manière. Sur la représen- tation de l'amiral , lors de son arrivée à Sainte- Hélène, le gouverneur prendra des mesures pouf envoyer sur-le-champ en Angleterre ou a» Cap, ou aux Jndes orientales , selon les circons- tances, tel officier non employé , ou tels parti- culiers dans le corps militaire de Sainte-Hélène, que lamiral jugera convenable de décharger de leur service militaire dans Tîle, par la raison qu'ils sont étrangers , ou pour cause de leur car ractère et de leurs dispositions. L amiral prendra les mesures les plus effi- caces pour surveiller l'arrivée et le départ de chaque vaisseau , ainsi que pour empêcher toute communication avec la côte, excepté celles qu'il aura approuvées. On va publier un ordre pour empêcher y qu Câ- pres un certain délai nécessaire, aucun bâtirhent , étranger ou appartenant au commerce- n'aille désormais à l'île de Sainte-Hélène. Si le général étoit attaqué d'une maladie se- rieuse, le gouverneur et l'amiral nommeront ohcicun un médecin jouissant de leur confiance, pour soigner le général , conjointement avec le sien; ils leur ordoilneront sévèrement de rendre ' compte tous les jours de l'état de sa santé. Dans le cas de sa mort , l'amiral donnera des ordres pour que son corps soit porté en Angle- terre. Donné au département de la guerre, le 3o juillet i8i5. Digitized by VaOOQlC '. Immédiatement après la perte de la bataille de Jéna , la majeure partie des provinces Prus- sienxies fut inondée par les armées frânçoises. On procéda systématiqnement pour se mettre en possession de toutes les ressources qu elles pouvoient offrir. Son armée fut d'abord logée, nourrie, équi- pée , et remontée aux frais du pays; Le logement et la nourriture demeurèrent ex- clusivement, pendant toute la durée du séjour des armées françoises en Prusse , à ia charge de rhabilant dans les villes et les campagnes. Elle ne s'étendoît pas seuleraeiit sur tout ce qui portoit les armes , mais sur tout ce qui suivoit les armées. Il faut avoir été témoin des vexations sans nombre que nous avons éprouvées, pour pouvoir ajouter foi au récit de nos malheurs. La dépense d'un simple général montoit souvent à 800 francs par jour; celle des maréchaux à proportion. Il est notoire que le séjour du maréchal N. Outre la table et le vin , le pro- priétaire pay oit le blanchissage, e1; dans les maisons abandonnées la ville devoit suppléer à cette dépense. Onéreuse pour Berlin et les autres villes, elle Tétoit bien plus pour les campagnes. Pour y mettre ordre , et pour faire cesser tout ce qui étpît arbitraire, on obtint enfin de stipuler une indemnité de table pour les officiers, qu'on payoit mensuellement à l'ordonnateur du corps. Celle des généraux de division étoil de 2,400 fr. La moitié de la Marche électorale seule ,. Viennent ensuite les frais d'entretien des hô- pîtaux militaires. Après une paix qui avçK réduit la monarchie à la moitié de ses provinces, on espéroit au moins être au terme et obtenir quelque soulagement. Cet espoir , hélas! Rien ne fut épargné pour ame- ner un éclat dont les suites auroient été incal- culables. C'est ici le moment de rappeler le traité perfide de Baïonhe , conclu en 1 808 , et dans le- quel Buonaparte, au mépris des traités, de la justice et, de l'humanité, dépouilla, d'un trait de plume, la veuve et Forphelin. Cette opération a causé à rÉtat une perte d'au moins é. Les établissemens financiers de la Prusse , savoir, i, la banque, j 2. Perte en revenus publics. Frais et dommages, sans ' compter les Ibgemens mili- taires 346,800,000 4. Pertes occasionnées par rémissiçn du billou. Pertes des établissemens financiers 76,000,000 6. Perte en revenus publics. Au kom de la très-sainte et indivisiUe Trinité. Dans le cas de la présence de S. Le comte de ' Neipperg. Le côftité bE Miea. Traité conclu entré les cours de Vienne et de Naplcs. Afin dé ppéveriîr toftt prétexté de contèôèa- tiort entre LL. MM; le roi de Naples et le roî dèSîdfe, S. Cette renonciation sera reconnue et garantie par S. Par contre , S. M, le roi dç Naples ejt S. Le présent article additionnel sera ratifié sé- parément , et les ratifications en seront échan- gées en même temps que celles du traité patent çt secret de ce joUr. Le duc de Gallo. Le comte de Neipperg. Le comte de Mïer. Second article additionnel au traité signé entre S. En foi de quoi les soussignés , munis des pleins-pouvoirs spéciaux de LL. Sicilienne replacée, par les forces des alliés, sur le trône de Naples; mais en a été arrêté par le danger que S. Cette considération a guidé toutes leurs mesures, et le Prince héréditaire lui-même , dans une discussion qui a eu lieu à une époque antérieure avec V. Dans la commUnièation que Y. J'ai l'honneur , etc. «i w» x3Êikmmx6rf» 9»tlr4nH fte p«a. Al« Sidiliémie jugeoit'à propè9? Dansia proclamation de Y. J'ai FHdiineur , etc. Le cabinet Autrichien ajoutoit que ces changemens avoient été discutés avec Tinter- ventîon des ministres de Russie et de Prusse , çt que tous s'étoient réutiis dans la même opi- nion , en sorte que si S. Sicilienne à en agir de même. Le Roi étoit à peine arrivé à Bologne, que le maréchal de Bellegarde , en développant à S.
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