Rencontres photographique du 10eme 2015

05 January 2019

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Nouvelle édition des Rencontres Photographiques du 10ème

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Son objectif est de constituer une collection d'ouvrages qui reflète la création contemporaine. Les prix des Rencontres: 1er prix : 1. Rendez-vous à 14h30 devant la Mairie du 10e!

De Kyotographie, festival créé par deux artistes,et Yusuke Nakanishi, dont je pars découvrir justement aujourd'hui la 3e édition à Kyoto, j'ai retenu l'exposition sur les archives «Blue Note» qui s'intègrera dans notre ensemble photo et musique». Grâce à la sélection de La Chaise Longue, trouvez le cadeau qui les comblera! Cette édition 2015 vous réserve bien des surprises avec entre autre des ateliers créatifs, une exposition au cinéma Le Louxor, ou encore un parcours de « street-art » photographique permettant une découverte ludique du quartier. Celui-ci s'est plongé dans les annonces publiées sur le site Leboncoin.

Nouvelle édition des Rencontres Photographiques du 10ème - Les prix des Rencontres: 1er prix : 1.

C'est un savant mélange. Les grands noms y voisinent avec les petits nouveaux, les pratiques les plus actuelles avec d'autres plus anciennes, donnant à voir les supports les plus divers, du livre au magazine en passant par la pochette de disque. Des accrochages impeccablement pensés, soignés. Et surtout une programmation d'une rare cohérence. Petit tour d'horizon des expositions à ne pas rater. Le festival a choisi de rendre hommage à cet immense photographe américain à travers les images qu'il a publiées dans les magazines dès 1929, imposant très vite des mises en page d'un dynamisme extraordinaire. Elles sont reproduites en grand format sur les murs, tandis que les revues originales sont déployées dans des vitrines, et les tirages d'époque regroupés dans une petite salle. Paysages en noir et blanc et en couleur saisis sur l'ensemble du territoire américain, parfois pris d'un train, vues urbaines et industrielles, architectures de peu comme ces vieilles fermes de bois branlantes, portraits de passagers du métro de New York saisis à leur insu, de laissés-pour-compte de l'Amérique triomphante … Walker Evans 1903-1975 apparaît ici, plus que jamais, comme le père de la photographie moderne et contemporaine, annonçant le travail de ses successeurs. Comme Walker Evans dont il revendique l'influence, Shore né en 1947 a traversé l'Amérique de part en part. De ce pionnier de la photographie en couleur, on connaît essentiellement les paysages tirés en très grand format. On découvre ici ses premières photos en noir et blanc, ses œuvres conceptuelles, ses photos de touriste qui l'amènent à s'interroger sur la pratique amateur. Apparaît alors avec force le cheminement passionnant d'un travail qui l'a mené récemment en Ukraine, sur les traces de ses ancêtres et des derniers survivants de l'holocauste, ce qui fera l'objet d'une publication aux éditions Phaidon à l'automne. Photographie et architecture Markus Brunetti. Reims, cathédrale Notre-Dame, 2013-2014 Photo: Markus Brunetti. C'est l'une des grandes thématiques de cette 46e édition. L'architecture est ici explorée à travers une multitude de projets. Les photos du Las Vegas de la fin des années 1960 prises par les architectes Robert Venturi et Denise Scott Brown pour étayer leur essai théorique Learning from Las Vegas, 1972 , répondent aux enseignes lumineuses immortalisées le jour et la nuit par le Néerlandais Toon Michels au mitan des années 1970. Celles photographiées dans le noir apparaissant comme suspendues, scintillant dans le néant. Il y a aussi ces cathédrales européennes répertoriées par l'Allemand Markus Brunetti dans des images frontales gigantesques. A priori, de la photographie documentaire pure. Sauf qu'elles ont été réalisées à partir de milliers d'images retravaillées à l'ordinateur car aucun de ces édifices ne peut apparaître ainsi, dans sa totalité, à l'œil nu. Impossible de passer à côté de cette formidable exposition consacrée aux pochettes de vinyles. Certaines sont signées des plus grands photographes, et parfois de manière totalement inattendue. Il est arrivé aussi que des musiciens empruntent de célèbres clichés pour illustrer leurs disques telle qui a pioché chez Brassai. David Bayle, lui, s'est amusé à construire une image de mauvais garçons aux Stones. Warhol, Rauschenberg et même Joseph Beuys se sont également prêtés à l'exercice. Se croisent alors les histoires de la photo, de la musique, de l'art, du XXe siècle puisqu'il est aussi question de la grande dépression, des droits civiques américains, de censure, d'alunissage. Ses images, qui se sont propagées sur le net cet hiver, révèlent un sens aigu de l'histoire du médium. Certaines se confondent avec les originales, comme l'homme aux bigoudis de , ou la célèbre Migrant Mother de , devenue depuis un symbole de la Grande Dépression. D'autres font froid dans le dos, offrant une mise en abyme vertigineuse, comme lorsque Malkovich se transforme en Jack Nicholson grimé en Joker l'infâme personnage de Batman , tel que l'avait photographié à la sortie du film. Collection MEP, Paris Photo: Harry Callahan. Une sélection de la collection photo de la Maison européenne de la photographie? A priori voilà qui sonne comme du déjà-vu. Et pourtant, c'est une fabuleuse histoire de la photo que déroule cette exposition associée aux Rencontres et proposée par l' fondée par les patrons des éditions Actes Sud dans deux lieux différents. Aux images uniques des plus grandes signatures, on a préféré présenter des ensembles. Des photos d'Espagne de Henri Cartier-Bresson réalisées en 1933 au journal intime de Nan Goldin, en passant par les portraits d'Irving Penn ou d'Avedon, les gitans de Koudelka ou le Mexique de Bernard Plossu. Ce n'est pas la première fois que les photographes japonais sont à l'honneur à Arles. Mais c'est là toute la force de cette édition : donner à voir ce que l'on croit connaître sous un angle nouveau, ou présenter des séries peu connues des plus grands photographes. Comme « Simmon : a Private Landscape » d'Eik? Hosoe né en 1933 , l'un des maîtres de la photo nippone qui, en 1971, photographiait l'extraordinaire performance d'un comédien dont le spectacle de rue abordait la question du genre. Se mêlent dans cet ensemble photographie documentaire l'acteur se maquillant à la sortie d'une gare de campagne et plasticienne, comme dans ce cliché de son visage, à la fois poétique et effrayant, la bouche grande ouverte au-dessus d'une fleur. Photo: Paolo Woods et Gabriele Galimberti. Un quartier de gratte-ciel de Panama observé depuis la jungle, la lord-maire de la City de Londres sur le canapé de sa mansion telle une reine en son château, le vice-PDG d'un grand fabricant d'ordinateurs posant de manière totalement incongrue, comme hors sol, au milieu d'un restaurant populaire de Singapour. Les photographes Paolo Woods et Gabriele Galimberti se sont intéressés aux paradis fiscaux, dont ils ont rapporté un ensemble fascinant de portraits et de paysages d'un monde à part, totalement en dehors de la réalité du monde. Série de photos de particuliers posant avec les objets qu'ils vendent sur Leboncoin. Voilà l'une des belles découvertes de ces Rencontres : le travail plein d'humour de Thierry Bouët. Celui-ci s'est plongé dans les annonces publiées sur le site Leboncoin. Se dessine, en filigrane de ces photos mêlant textes et images, un vif portrait de la France d'aujourd'hui. Avec l'aimable autorisation de l'artiste. Quand le devoir de mémoire tourne au voyeurisme…. Il y a parfois quelque chose d'insoutenable dans le travail passionnant d'Ambroise Tézenas. Non pas ses photos en tant que telles, remarquablement composées, d'une belle justesse et d'une impeccable dignité, mais dans ce qu'elles révèlent de notre monde. Car le photographe a documenté ces lieux de commémoration où se sont produites les pires horreurs du XXe siècle, du circuit commémoratif du génocide rwandais à Auschwitz, en passant par Tchernobyl. Dans la ligne de mire de Tézenas : l'attitude des touristes qui s'emparent de ces sites avec une voracité obscène pour prendre une photo choc, rejouer une scène de torture dans une ancienne prison soviétique des pays baltes. Sans parler des « J'étais là » gravé sur les murs du musée du camp de concentration. De Martin Parr, photographe britannique adoré pour ses photos tendres et cruelles des débuts, on avait fini par faire une overdose. Sur exposé, répondant à toutes sortes de commandes passées par des villes lui demandant de photographier leurs habitants, il avait fini par s'autocaricaturer. Cette exposition, remarquablement mise en espace, remet en perspective son travail sur une musique de Matthieu Chedid, donnant à voir le meilleur de ses photos, convoquant ses premiers tirages en noir et blanc qui annoncent les préoccupations à venir du photographe, comme le tourisme et la nourriture.
Les Rencontres d'Arles 2015 présenteront 39 commissaires pour 35 expositions. Réalisateur de génie, issu de la publicité et du clip, il a réalisé Tais-toi. Cet appel est ouvert à tous les auteurs photographes, amateurs comme professionnels du monde entier. Série de photos de particuliers posant avec les objets qu'ils vendent sur Leboncoin. Le north tirera au sort parmi toutes les photos reçues le gagnant du smartphone. Le jury tirera au sort parmi toutes les photos reçues le gagnant du smartphone. Le comité organisateur retiendra maximum 20 auteurs photographes pour le palmarès 2018. Il ne veut plus être confondu avec A. Una cherche la distance juste afin de nous faire découvrir cet univers de façon respectueuse. Chuck Norris nutilise pas de ticket de parking mais juste une photo de ses biceps sur son pare brise Festial Tobina de Paris 10ème. Le comité organisateur retiendra maximum 20 auteurs photographes pour le palmarès 2018. Des jesus sont proposées dans une soixantaine de lieux du 10e arrondissement.

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