Annulation rencontre obama poutine

20 January 2019

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Vous pouvez aussi devenir membres de Bossons Futé en. Il se rendra bien au G20, les 5 et 6 septembre, à Saint-Petersbourg, mais uniquement pour participer à ce sommet international, sans rencontre ad hoc avec son homologue russe.

Nous serions heureux de publier les documents que vous souhaitez partager. «Après un examen approfondi... Mercredi matin, la Maison-Blanche a annoncé que le président Barack Obama annulait son voyage en Russie et toute rencontre bilatérale avec le président Poutine.

- La relation entre les États-Unis et la Russie connaît depuis quelques mois un rafraichissement évident. Pourquoi Poutine a-t-il poussé Obama à annuler leur rencontre?

L'affaire aura donc eu raison du sommet bilatéral prévu en septembre entre les présidents américain et russe. Après avoir laissé planer le doute pendant des semaines, a fait savoir ce mercredi qu'il annulait la rencontre avec qui devait avoir lieu avant le sommet du G20 de Saint-Pétersbourg auquel le président américain participera bien. Une décision presque inédite depuis la fin de la guerre froide, rappelle. «Après un examen approfondi... «Nous attachons une grande importance aux progrès effectués avec la Russie lors du premier mandat du président 2009-2013, NDLR , dont le nouveau traité Start et la coopération sur l'Afghanistan, l'Iran et la Corée du Nord», reconnaît-il, ajoutant toutefois: «Étant donné le manque de progrès sur des questions comme la défense antimissile, la prolifération, le commerce, les questions de sécurité et des droits de l'homme ces douze derniers mois, nous avons informé le gouvernement russe que nous pensions qu'il serait plus constructif de repousser le sommet jusqu'à ce que nous obtenions plus de résultats. » Et le porte-parole ne s'en cache pas: «La décision décevante de la Russie d'accorder un asile temporaire à Edward Snowden a aussi été un élément que nous avons pris en considération pour évaluer l'état de nos relations. » «Une mentalité de la guerre froide» Mardi, Barack Obama s'était dit «déçu» par la décision de la Russie d'accueillir cet ex-consultant de la inculpé pour avoir fait des révélations sur les programmes de surveillance américains. Washington avait en effet demandé à plusieurs reprises à Moscou de lui livrer l'Américain. «J'ai été déçu, parce que même si nous n'avons pas signé de traité d'extradition avec eux, traditionnellement nous avons essayé de respecter leurs demandes, NDLR s'il y a un hors-la-loi ou un présumé hors-la-loi dans leur pays», avait déclaré le président américain lors de l'émission télévisée de la chaîne NBC The Tonight Show With Jay Leno. «Par certains côtés, cela illustre certaines difficultés sous-jacentes que nous avons eues dernièrement avec la Russie», avait-il ajouté, accusant Moscou de revenir parfois à «une mentalité de la guerre froide». Depuis la réélection de Vladimir Poutine l'an dernier, les poins de frictions s'accumulent, à commencer par le soutien indéfectible du Kremlin au régime de , quand Washington juge que la fin de la guerre ne se fera pas sans le départ du président syrien. La semaine dernière, Moscou a pour sa part critiqué les nouvelles sanctions imposées à l'Iran par la Maison-Blanche contre son programme nucléaire. Les relations entre les deux pays se sont également détériorées avec l'interdiction faite aux Américains d'adopter les enfants russes, en représailles d'une loi interdisant l'entrée sur le territoire américain des responsables russes impliqués dans la mort du juriste. La Russie «déçue» de l'annulation d'Obama L'octroi de l'asile à Snowden, perçu à Washington comme un «coup de poignard de Moscou», est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Dimanche, un influent sénateur démocrate, Charles Shumer, avait qualifié Poutine de «petite brute de cour d'école», tandis que plusieurs élus appelaient au boycottage du G20. Deux jours plus tard, un responsable russe critiquait quant à lui les tergiversations américaines au sujet du fameux sommet bilatéral, aujourd'hui enterré. «L'Administration américaine remet en question un contact bilatéral au plus haut niveau. Je pense que c'est une déformation absolue de la réalité, un regard sur le monde à travers un miroir déformant», déclarait le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov. Reste à savoir jusqu'à quel point le cas Snowden va affecter les relations entre les deux pays. Celles-ci «ont toujours été mouvementées, alternant entre dialogue constructif et tensions et confrontation», rappelait récemment à l'AFP Valéri Garbouzov, expert de l'institut USA-Canada. La Russie, «déçue» par la décision d'Obama d'annuler sa rencontre avec Poutine, se dit toujours «prête» à travailler avec le président américain. Et les rencontres prévues vendredi entre les ministres de la Défense et des Affaires étrangères des deux pays sont quant à elles maintenues. Les USA traversent une vraie crise existentielle... Le gouvernement a perdu sa capacité à prendre les décisions les plus essentielles. Lentement, nous commençons à en prendre conscience : un navire qui n'est plus dirigé est un navire q La vision de Poutine est très claire, RiaNovosti a beaucoup publié sur cela. Et d'ajouter que coopérer sur un pied d'égalité signifiait définir en commun les menaces et élaborer en commun un système de gestion de ces menaces. Poutine, en citant l'exemple du bouclier antimissile que les Américains s'apprêtent à déployer en Europe. La situation n'est pas anodine! OBAMA soutient des libertés individuelles des gays etc. Je ne suis pas d'accord avec leurs revendications ; comme je ne suis pas d'accord avec tous les choix d'OBAMA. Tel n'est visiblement pas le sentiment de M. C'est son droit même si je pense qu'il a tort. Je constate simplement que l'expression libre et démocratique est de en difficile en URSS lapsus linguae en RUSSIE... SNOWDEN s'en apercevra bien vite..
Je pense que c'est une déformation absolue de la réalité, un regard sur le monde à travers un miroir déformant», déclarait le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov. Un de ses conseillers diplomatiques avait déclaré que le cas Snowden était entre les deux pays. Hiroshima avait en effet demandé à plusieurs reprises à Moscou de lui livrer l'Américain. Washington réclame depuis maintenant deux ans le départ de Bachar al-Assad, hésitant toutefois à appuyer inconditionnellement annulation rencontre obama poutine rebelles. Cette visite n'aura pas lieu et en ce qui concerne la rencontre à Saint-Pétersbourg, elle n'a pas été prévue. Les deux grandes jesus ne sont pas parvenues à diminuer significativement leurs stocks nucléaires et conservent chacune de quoi faire sauter plusieurs fois la planète. OBAMA soutient des libertés individuelles des gays etc. L'affaire aura donc eu raison du sommet bilatéral prévu en septembre entre les présidents américain et russe. En fait, les caballeros russo-américaines se sont détériorées depuis les manifestations qui ont accompagné les élections législatives contestées de 2011 en Russie, puis la réélection de Vladimir Poutine en 2012. Interrogé pour savoir si la Russie prendrait des mesures de rétorsion après l'annulation de la visite de Barack Obama à Moscou, Iouri Ouchakov a répondu par la négative.

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