Rencontres de saint alban 2014

23 January 2019

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Faugeras à propos de la traduction des Séminaires sur la schizophrénie de Gaetano Benedetti érès 2014 , M. St Saviours: Sandpit Lane, St Albans, Hertfordshire, AL1 4DF. PROCESAMIENTO CON PROGRAMA DE RENDERIZACIÓN EXTERNO Las características de representación incluidas en IDEA Arquitectura pueden satisfacer la mayoría de sus necesidades de presentación, pero si desea colaborar con expertos de renderizado o simplemente utilizar su programa de renderizado favorito, es bueno saber que se puede exportar a los formatos.

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Monuments de raison 29 es Rencontres ACTUALITÉ Soraya Hocine «Serai-je vivant demain plutôt qu aujourd hui? Vendredi Samedi 20 et 21 juin 2014 2 lieux de folie. Monuments de raison 1 «Une maison d aliénés est un instrument de guérison ; entre les mains d un médecin habile, c est l agent thérapeutique le plus puissant contre les maladies mentales» Esquirol 1818 Il serait tentant de penser qu une certaine dérive de la psychiatrie, voire son naufrage, serait due essentiellement à des conditions économiques toujours plus restrictives, sinon à des règlementations administratives toujours plus contraignantes ou à des impératifs idéologiques, toujours plus affirmés. Si l effet de ces différents facteurs sur l exercice de nos pratiques est indéniable, il nous paraît néanmoins tout aussi important de comprendre comment un tel naufrage était déjà inscrit dans les monuments, architecturaux et théoriques, dès l instant où ils ont été conçus, imaginés selon les principes d une science de l homme et de la folie, une idée du progrès et du soin et quelquefois une certaine idée de la vie sociale. Mais s il nous est plus aisé aujourd hui de percevoir quelles croyances, quelles chimères, illusions ou superstitions ont présidé à l édification de ces Monuments de raison, lorsqu il s est agi de construire des Lieux de folie, force est de constater qu il nous est bien plus difficile de repérer «les espérances chimériques qui, à ce jour, nous font négliger la réalité» D Holbach , ou dit plus prosaïquement nous font négliger certains paramètres fondamentaux que la clinique a su patiemment échafauder. Ainsi de l espace Ainsi de l espace, dont il semble désormais utopique de penser qu il pourrait, comme nous invitait Esquirol à le faire, dans le cadre des institutions où nous œuvrons, être conçu comme un outil thérapeutique et non pas, architecturalement, sacrifier à la pure fonctionnalité. Fussinger Presses universitaires romandes 3 Représentation de la folie et conception de l espace 1Atelier n Penser la folie, c est simultanément penser l espace institutionnel où elle se déploie. Le pouvoir médical, dès les premiers aliénistes et la conception du traitement moral au 19ème siècle, va s étendre à l ensemble de l existence du patient. C est ainsi que va naître l asile psychiatrique, système institutionnel assurant à l aliéniste une prise morale sur les individus. D emblée, l organisation de l espace va être au centre des préoccupations car il va s agir à la fois de concilier le traitement, les différentes sortes de maladies alors répertoriées, avec le regroupement d individus au sein d une communauté qui, tout en n étant point coupée de la société, devra maintenir les malades dans un espace thérapeutique bien distinct. Si les projets initiaux n échappaient pas à une certaine vision philanthropique, rapidement la nécessité d un certain isolement va se confondre avec un enfermement contraint, à moins que cette confusion ne fut déjà en germe au coeur de l utopie fondatrice. Aujourd hui les architectures dans lesquelles on enferme la folie sont bien souvent abstraites, et lorsqu elles ne le sont point, les structures modernes chargées de la contenir, si ce n étaient les mesures de surveillance qui constellent leurs abords ou leurs façades, ressemblent à n importe quel hôpital ou parodient n importe quelle banale demeure. Mais s agit-il vraiment d une avancée par rapport à la conception de la folie et de sa stigmatisation ou bien s agit-il de son déni pur et simple, car rares sont devenus, aujourd hui, les questionnements sur l espace comme outil thérapeutique, refoulés par les soucis de commodité et de surveillance. Et l idée selon laquelle patients et soignants s associeraient aux architectes pour concevoir des lieux où pourrait s exercer une véritable pratique soignante relève désormais du rêve. Nous proposons, au cours de cet atelier, d interroger l organisation des espaces dans lesquels nous pratiquons, les conceptions et représentations de la folie qui les sous-tendent et leur poids sur l évolution de nos pratiques soignantes. A insi de l espace, que le pouvoir, sous ses masques multiples, transforme en territoires, aussitôt occupés, souvent aux noms de la liberté, de la sécurité et de l ordre, empêchant ainsi que des limites se déterminent du seul fait de la fréquentation d un ailleurs ou de l étranger. Ceci est perceptible dans le délabrement de la pratique du secteur vers une organisation sanitaire du territoire contenu dans les textes relatifs à la réforme HPST Hôpital, patients, santé et territoires. Cette transformation douce ou ce glissement insidieux s opère par l exigence d une définition des places des uns et des autres où chacun est assigné à résidence et définit lui-même son propre territoire. Ce processus subtil se réalise discrètement dans le même temps que se dérobent inexorablement l objet de la clinique, le rapport à l autre. Ce phénomène quasi magique, ce tour de passe-passe, cette supercherie s effectue comme au music-hall avec la complicité naïve des participants institutionnels qui, satisfaits, contribuent béatement à la définition des frontières de leur territoire dans lequel chacun s aliène avec crédulité et peut régner en maître absolu et jouir de l illusion d une puérile toute puissance dissimulée dans un rationalisme parfois surréaliste. Les frontières de ces territoires sont souvent déjà présentes, d abord imperceptibles puis en émergeant progressivement deviennent alors les objets de violentes luttes et d âpres combats. Elles sont l enjeu de territoires exclusifs issus des corporations, des savoirs constitués, des champs de connaissance, des différentes disciplines, des sociétés de discours, des communautés d idées. Ces territoires, comme autant d ensembles, se constituent et fonctionnent sur les jeux du rejet et de l exclusion, de l assimilation et de l identification, de l incorporation et de l expulsion. Ils établissent des fortifications qui, par la promulgation sentencieuse des interdits, par l instauration impérative des tabous dans le langage, deviennent des bastions. Frontières et Territoires deviennent alors les vestiges, les décombres, les ruines d un espace clinique disparu avant d avoir existé, en friche avant d être cultivé, perdu avant d avoir été trouvé. Pourtant et paradoxalement cet atelier propose d explorer les frontières de ces territoires, aux confins de ces contrées, au bord de ces limites, là où naissent les espaces libres, les interstices, les intervalles, les entre-deux, ces lieux où se révèlent les possibles, où s ouvrent les passages, au seuil de l ailleurs; ces lieux juste à côté, si proches et si lointains donnant accès à un ici et maintenant, à un au-delà les territoires inoccupés. A insi de l espace, que l on dit mental, lorsqu une rencontre intersubjective le rend possible et qui, lorsque des fils plus ou moins élémentaires se trouvent ainsi noués, pourrait être la condition d un véritable travail thérapeutique, s il n était trop souvent arasé par des protocoles de soins et autres croyances contemporaines 5 L espace mental L heure est à l objectivité et l objectivité tient à la distance qui nous sépare de l objet. C est ainsi qu on enseigne aujourd hui que la qualité des soins dépend du maintien, entre soignants et soignés, d un écart qui garantit l objectivité, devenue opérateur de toutes relations soignantes. Du calcul scientifique de ces distances dépend maintenant, dans les institutions soumises aux protocoles de bonnes conduites, l étendue autorisée d un espace relationnel quadrillé d où sont exclues toutes les formes d inventions transférentielles. Chacun doit y tenir sa place, assignée par les normes, à bonne distance des autres. Pourtant il existe la possibilité d un autre espace dans les institutions, c est l espace que vient y ouvrir la distance subjective à l autre, espace de l entre deux, espace de la rencontre avec ses enjeux inattendus. Cet espace est l espace du transfert, espace psychique où se construit un monde relationnel régit par ses propres lois et dans lequel s impose justement la destitution des places établies. Car, en s ouvrant, cet espace fait trou dans le savoir institutionnel, toujours déjà là, solidifié parfois jusqu à la sédimentation. On le comprend, l espace mental comme espace du transfert est un espace précaire, toujours en risque d être aboli si on n y prête pas attention. Que devient-il dans les institutions quand les espaces cliniques ont été refermés jusqu à disparaitre et que les effets du transfert ne sont plus mis au travail? Que reste-t-il de l espace transférentiel lorsque les patients mis à distance n ouvrent plus à la parole chez les soignants? Que serait un espace mental qui ne s ouvrirait qu à la condition que les soignants soient encore disposés ou autorisés à le faire exister cliniquement et à en faire un opérateur thérapeutique? C est la question que nous posons pour nous mettre au travail dans cet atelier : l espace mental, espace du transfert et de l inconscient, est-il encore dans les institutions de soin un opérateur clinique et thérapeutique au service des patients? Et à quelles conditions peut-il l être? A insi de l espace, institutionnel, dont il nous prend à rêver que l on pourrait, non seulement, l inventer tel qu il se plierait aux exigences de la rencontre mais qui serait aussi conçu de telle sorte que l inattendu pourrait encore s y produire, qu un événement pourrait y avoir lieu. C est, après tout, ce à quoi François Tosquelles vouait ce qu il appelait l analyse institutionnelle. Pourtant la clinique ne peut être conçue sans l événement qui l inaugure, nous affecte par son imprévisibilité, et met à mal nos projets et l illusion de maîtrise. Ainsi, l événement peut être appréhendé comme faisant fracture dans l espace institutionnel. L événement ouvre un monde, il nous fait entrer dans l ouvert, il crée l espace dans le sens de ce qu il y a entre. L avènement de l espace est alors à entendre comme brèches, interstices, lieu de surgissement des possibles d où se révèle l accomplissement des attentes. Dans la trame ordinaire du quotidien institutionnel, pouvonsnous encore percevoir l irruption d un événement-avènement? Pouvons-nous encore nous laisser surprendre par le surgissement imprévisible de l événement, de la rencontre ou de l altérité? Pouvonsnous encore inventer une pratique clinique rythmée par la création et l indéterminé? Pouvons-nous encore rêver à une pratique soignante sous-tendue par le désir et non par un protocole de soin? Est-il encore possible d être présent à ce qui apparaît, réceptif à l émergence de l événement, dans lequel nous sommes nous-même pris? Ainsi, au niveau institutionnel, comment œuvrer pour qu il y ait de l ouvert? Quels dispositifs institutionnels, quelles dispositions cliniques, quelle disponibilité de présence mettre en œuvre pour qu un événement ait lieu? Comment penser l analyse institutionnelle pour que l évènement ne soit pas lettre morte, nos affects hantés, et qu un travail clinique effectif ait lieu? Comment s appuyer sur l analyse institutionnelle en tant que lieu d émergence, de déplacement, de renversement, de circulation de la parole et des personnes? Atelier n Représentation de la folie et conception de l espace Animateurs : Eric BOGAERT - Henry PAIN L antre deux d un dehors et d un dedans C. Ed Toulouse - Marseille 13 Un espace de transformation pour 2 patients psychotiques dans le cadre de 2 ateliers chronologiquement différents CATJ Gleizé - Saint-Cyr au Mont d Or 69 L accompagnement thérapeutique de Georges : Au delà du nomads land ATO Les Ecureuils - Montpellier 34 L homme habite en poète Equipe de Pédopsy, secteur 12 - Brumath 67 8 Atelier n Les territoires occupés Animateurs : Dominique FABRE - Youcef BENTAALLA Un groupe à la carte ou qu est-ce qu on se fait quand on se repère H de J Adulte Gleize - Saint-Cyr au Mont d Or 69 Création : un espace libre? CMP - Pédopsy secteur n 9 - CH Montperrin - Miramas 13 Grand corps malade Asso APRES - Toulouse 31 L ITEP : un espace où le symptôme s exprime... ITEP de L ANCRAGE - Morlaix 29 L espace mental Atelier n Animateurs : Sébastien RODOR - Cosimo SANTESE - Céline PASCUAL Espace mental nomade Unité de Soins Ambulatoires CHU Purpan - Toulouse 31 Le tricotage des espaces intersubjectifs à l unité parents-bébé ; au tissage du lien parents-bébé Unité Parents Bébé - La Seyne sur Mer 83 Notre maison aura un toit... Secteur 29G13 - Association culturelle - Landerneau 29 Espace clos : Lieux de l autre ADIR - «Le Clos des Bertrands» - Ollioules 83 Atelier n L événement comme fracture de l espace? Animateurs : Hervé CHAMBRIN - Aline CHASSANG - Paul MARCIANO D un côté, de l autre... Un peu de pâte à modeler, des couleurs pour les décors, un appareil photo, des tubes de colles quelques paires de main avec beaucoup de patience et d imagination, et voici Hippolyte! Un film d animation créé à partir du principe de «l image par seconde», un support surtout d une richesse inépuisable pour bâtir un espace de rencontre entre patients et soignants, une aire de jeu, de créativité, d expression En salle au CHFT le vendredi 20 juin! IFSIL Déambulation de la Tarasque Exposition «Je «ne» suis... Exposition photographique des travaux réalisés à Saint-Alban pendant le stage sur «l autoportrait», dans le cadre du programme «Culture à l hôpital» «L autoportrait est la représentation par l artiste lui-même de son propre corps. Entre le JEU et le JE, une activité créative et une quête de soi, en utilisant toute sa personnalité». Verrière et Hall de la salle de la terrasse 10 F O R L invention du lieu, résistances et créations en Gévaudan de juin à septembre 2014 salle d exposition du Château de St-Alban Cette exposition est proposée par l association SACPI, St Alban Art Culture et Psychothérapie Institutionnelle , en partenariat avec le LaM, avec la contribution du musée de Lausanne et autres institutions et réseaux d amis. L Art Brut en est le fil rouge. Les acteurs de la Psychothérapie Institutionnelle ont joué un rôle important dans la reconnaissance d œuvres crées au sein de l hôpital par Auguste Forestier, Aimable Jayet, Marguerite Sirvins, Arneval, Clément Fraisse, Gérard Olive, Madame Lotte, Jego Morin... Mais cette exposition s attache aussi à mettre en avant le creuset intellectuel et artistique qu a constitué la période de la seconde guerre mondiale et ses prolongements. Ainsi seront évoqués les liens et les synergies avec les champs littéraires, poétiques, le mouvement surréaliste, les influences philosophiques, les recherches de la Société du Gévaudan... C est au travers des filiations et réseaux d amitiés que nous tenterons de faire état des liens et essaimages : liens de Bonnafé avec Paul Bernard et l hôpital de Lommelet avec les maquettes architecturales de Louis Decq, les peintures de Paul Engrand Nous associerons aussi des journaux collectifs ou plus intimes : albums Dubuisson, cahiers de Jayet, cahiers d écolier de Manu au Villaret pour témoigner des lieux, des vécus, des espaces propices à l invention, à la création. C est au travers des textes et photos de Daniel H. Seront présentes aussi des œuvres répertoriées ou non dans l art brut faisant état de dynamiques plus contemporaines, travaux en résidence sur le lieu de St Alban, créations à partir des ateliers du LaM, et notamment les travaux d André Robillard. Discussion Architecture politique et constructions P. L hôpital dans lequel prennent place ces Rencontres, cet hôpital où nous travaillons, fut en 1995, à l initiative de l association culturelle, officiellement dénommé centre hospitalier François Tosquelles du nom de celui qui pendant 20 années a oeuvré inlassablement à bouleverser, transformer et reconstruire, aussi bien nos habitudes de penser et de faire que la topologie des lieux. «L obstination dans l accomplissement de nos tâches est tout aussi indispensable que la souplesse de leurs articulations». Combattre, résister, convoquer la parole, la pensée, créer lieux et conditions propices à l émergence de groupes, à leur incidence, favoriser ouvertures et possibilités dynamiques voilà une brève esquisse des forces qui ont animé le parcours de François Tosquelles. «La question des parcours humains cache et dévoile la question des origines». C est pourquoi nous nous attacherons dans cette rencontre à interroger ce qui a sous-tendu cette mise en oeuvre, ces mises en mouvement : trajet politique, humain et éthique. Comment se ressaisir de la pensée de François Tosquelles, résister aux attaques dont la Psychothérapie Institutionnelle fait l objet, soutenir sa pertinence, ses capacités dynamiques, dans le contexte actuel? Cet espace sera, entre autres, animé par Jacques Tosquellas. VENDREDI 20 JUIN À 17 H 30 Cour du Château Exposition «Dedans -Dehors» proposée par l office du tourisme de Saint-Alban Collection du Lam Sylvie Souton et Jean Charles Stora Sculpture Fer - Terre pour faire parler Espace du Château RDC 11 U M «Espace sensible, espace de la rencontre : Autour de l art brut». Patricia Vallet et Alain Bouillet proposent à une vingtaine de participants, réunis à l occasion d un «parcours sensible», d explorer comment les sens sont convoqués et mis à l épreuve dans la rencontre avec les ouvrages d art brut. VENDREDI 20 JUIN À 17 H IFSIL Durée : Environ deux heures trente. Projection du film «Les tourmentes» de Pierre-Yves Vandeweerd La tourmente est une tempête de neige qui désoriente et égare. Elle est aussi le nom donné à une mélancolie provoquée par la dureté et la longueur des hivers. Là où souffle la tourmente, des hommes érigèrent des clochers pour rappeler les égarés. Et des bergers, au gré de leurs transhumances, usèrent de leurs troupeaux pour invoquer des âmes perdues ou oubliées. Guidé par les sonnailles d un troupeau et par les évocations des égarés, ce film est une traversée des tourmentes ; celles des montagnes et de l hiver, des corps et des âmes, celles qui nous révèlent que ce que la nature ne peut obtenir de notre raison, elle l obtient de notre folie. Nous revendiquons le droit de disposer de la terre pour produire une partie de notre alimentation. En jardinant sur le campus, nous affirmons être des citoyens-ne-s acteur-rice-s de nos lieux de vies plutôt que des administrée-s laissant les élites dirigeantes décider de nos intérêts. » Lieu des possibles, potagers autogérés, jardins publics ou espaces communs. Les jardins d Utopie sont ce que tu en fais, en face de la BU Droit- Lettres sur le campus de Grenoble. Esplanade 12 S a m e d i 2 1 j u i n 9 h à 11 h 45 Ateliers 12 h à 14 h Pause déjeuner 14 h à 17 h Espaces littéraires 1 - La folie exilée Alors que les entités cliniques apparaissent ou disparaissent au gré des manuels diagnostiques, des lobbys pharmaceutiques ou autres mouvements d opinion, au gré des contraintes économiques ou idéologiques, alors que la grande psychiatrie s étiole et se disperse en troubles multiples et disparaît docilement derrière de nouvelles techniques sans âme, abandonnant au passage ce qui fit quelquefois sa grandeur, une véritable clinique des psychoses, n est-ce point, chassant la folie au delà ou en-deçà de notre horizon, la possibilité même de penser qui s en trouve affectée? Participeront à cet espace littéraire : P. Coupechoux auteur de Un homme comme vous. Essai sur l humanité de la folie, le Seuil 2013 , P. Faugeras à propos de la traduction des Séminaires sur la schizophrénie de Gaetano Benedetti érès 2014 , M. Minard auteur de Le DSM Roi, érès 2013 et C. Peut-on être, sans lieu? Sans lieu, que faire de son être? Ces gamins-là n ont pas de place. Ni dans le langage, ni dans une pensée qui comprend et assigne, ni même dans l espace social. Ils vivent dans un monde parallèle, où ils mènent leurs lignes d erre, où nous ne sommes pas, sinon parfois à l occasion de rencontres imperceptibles et fugaces autour de quelque pierre. Utopie : idéal qui ne tient pas compte de la réalité. La folie a-t-elle un lieu? L asile, un lieu organisé, administré, réglementé. Soumis à la raison. Comment aménager son accueil par la raison pour que la folie puisse y faire autre chose que se confire, ou disparaître, corps et âme? Utopie : pays imaginaire où un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux. On ne peut qu oeuvrer -philosophie, politique- à la création de ce pays dans notre pauvre monde. Quelle pierre, quelle bâtisse, quel jardin,, pour lui faire place et s y confronter dans l espace où vivent les hommes? Avec Jardins d Utopie Collectif d étudiants cultivant des jardins sur un terrain squatté de l université de Grenoble , Ariane d Hoop chercheuse à la Faculté d Architecture de l Université Libre de Bruxelles, aspirante FNRS ; be , Daniel Terral éducateur spécialisé, ancien directeur d établissement médicosocial et Bertrand Ogilvie philosophe, psychanalyste. Le secteur, CMP, hôpitaux de jour pour traiter la folie dans la cité, dans l espace social commun? Pour Tosquelles, «L établissement c est les murs, et l institution les murmures... À l heure de l hôpital-entreprise, qui vit sous le règne des procédures, des protocoles, des évaluations comptables, ne faut-il pas pour travailler y instituer un «hôpital imaginaire» des murmures qui s originent de nos capacités de rêver collectivement l autre, le fou, soi... Avec Paul Bretecher, Roger Ferreri, Jean-Pierre Martin, Guy Dana. Participation aux frais repas de midi compris : Formation continue 250 Individuel et Groupe 8 pers. Signature A renvoyer à Association Culturelle, C. Signature Pour tous renseignements, veuillez contacter Solange Gaillard, secrétariat de l association culturelle Tél. Comité d organisation Association culturelle du personnel, Collectif Rencontres, Société lozérienne d aide à la santé mentale. Collectif rencontres Youssef Bentaalla, Lionnel Béteille, Éric Bogaert, Alain Bouillet, Hervé Chambrin, Aline Chassang, Claude Claverie, Geneviève Claverie, Dominique Fabre, Patrick Faugeras, Mireille Gauzy coordination , Sonia Hermellin, Dalila Idir, Paul Marciano, Jacques Nevoux, Henry Pain, Céline Pascual, Edmond Perrier, Sébastien Rodor, Cosimo Santese, Serge Souton, Hubert Tonnellier. Veillez à prendre vos dispositions. Un transport pourra être mis à votre disposition à la demande à partir de la gare SNCF de Saint-Chély-d Apcher. Pour tous renseignements veuillez contacter Solange Gaillard, secrétariat de l association culturelle, les mardis et vendredis.
Une courte limite seffectue ensuite avec Social-Alban-Leysse au niveau du col de. Scientifiques et spirituelles, et des entretiens surprenants comme une rencontre avec un Jacques Attali étonnamment connaisseur en ce domaine Quil prside, michal rencontre de se rencontrer, cest au bout de diffuser. DIBUJA MÁS RÁPIDO QUE CON OTROS PROGRAMAS DE ARQUITECTURA En comparación con Revit® o ArchiCAD®, For Arquitectura es mucho más rápido y fácil de usar. Les frontières de ces territoires sont souvent déjà présentes, d abord imperceptibles puis en émergeant progressivement deviennent alors les objets de violentes luttes et d âpres combats. DVD Zone 2 102013; Note moyenne des internautes: 55 Nov 28, 2015. Technopole ouvre la 4ème zip. Caines said, Early in 2013 our Rencontre East sites received their Aug 6, 2016. Cite de rencontre bretagne site rencontre b2 belgique rencontre saint alban 2012 Translation of: Histoire dun secret: À propos rencontres de saint alban 2014 la Suite lyrique dAlban. Ce processus subtil se réalise discrètement dans le même temps que se dérobent inexorablement l objet de la clinique, le u à l autre. Elle est aussi le nom donné à une mélancolie provoquée par la dureté et la longueur des hivers. Les enfants participent vivement, et les parents semblent bien appréciés également.

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